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HAVRAIS-DIRE Le blog de Dan et ses amis.
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6 mai 2018

A propos du boulevard Albert 1er. (2/2)

Nous avons vu la semaine dernière, la construction de l’immeuble au 48 boulevard Albert 1er, en 1962-63. Ses caractéristiques sont conformes aux critères définis dans le plan d’urbanisme. Son rez-de-chaussée était occupé en 1971 par une station-service.

Albert 1er 1971 JJ R (2) RCD RTC ALGLa station Elf en 1971 au 48 Du boulevard Albert 1er. On peut distinguer, à droite, la « Villa Aimé » démolie en 1987. Photo collection privée.

Albert 1er bld 11-04-2018 ORI (12) choix ALGLa même adresse aujourd’hui, sans la station-service. Il est à remarquer toutefois, que cette boutique est consacrée à l’automobile. Photo Dan.

48 Albert 1er 4-2018 Villa aimé fusion (ori) ALGLa villa « Aimé » remise dans le contexte actuel. Photo montage Dan.

La propriété Giblain, plus connue sous le nom de « Villa Aimé », sera, elle aussi, sacrifiée et démolie en 1987.
Il était sans doute possible de la restaurer, mais le plan d’aménagement du boulevard spécifiait qu’il n‘y aurait pas d’autorisation pour les rénovations ou nouvelles constructions si ces travaux n’étaient pas conformes au projet. (1)  Le nouvel immeuble qui la remplacera correspondait exactement aux impératifs imposés par ce plan.

Albert 1er bld emplaceme,t AIME (ALG)Vue dans le sens sud-nord du boulevard 1 : L’emplacement de la villa Aimé.  2 : Le 48 Albert 1er. Photo Dan.

Ce projet d’aménagement ne faisait pas l’unanimité loin s’en faut, l’opinion publique y était hostile et Il y eut des protestations, des objections et des pétitions contre lui.
De nos jours il semble être « enterré », et c’est peut-être souhaitable car dans sa ligne de mire se trouvait la villa Salacrou bien connue des Havrais.
Aujourd’hui on peut constater qu’il n’est plus appliqué, j’en veux pour preuve l’immeuble au 54bis qui ne correspond en rien aux critères imposés en 1959. D’ailleurs on peut le comparer avec l’immeuble construit en 1955 et situé au 56. (Nous l’avons vu en construction la semaine dernière.) Alors, définitivement enterré ce plan ? 

4 ALGLe 54 bis construit en 2009, en comparaison avec le 56 édifié en 1954-55. Photo Dan.

Comme la villa du début du XXe siècle, la « Villa Aimé » a connu, elle aussi, le départ du Tour de France en 1955.

Départ Td F 7-07-1955 MF ALGUne démonstration de motards lors du prologue du Tour de France. La villa Aimé est désignée par la flèche. Collection M. Fouquet.

*-*-*-*-*

(1) Voici un très court extrait du compte-rendu de la séance du conseil municipal du 22 juin 1959, il s’agit des observations de l’architecte en chef de la ville du Havre :
« La réfection d’un immeuble, par exemple, devra être interdite alors que le bon état des autres empêchera son remplacement par une construction conforme au nouveau règlement. Une parcelle de terrain pourra se trouver libre. Il faudra empêcher son utilisation jusqu’à ce que les parcelles nécessaires à l’édification d’un immeuble soient à leur tour libérées. Cette situation poserait, à notre avis, une question juridique que nous n’oserions trancher. »

 Ces articles n’auraient pas été possibles sans l’excellent travail d’Alexandre Boucher-Beaudard. Grand merci à toi Alexandre.

*-*-*-*-*

Merci de votre visite.

 

Commentaires
T
Extraordinaire reportage... comme d'hab. L'excellence est la règle sur " Havrais-Dire ". Je ne souvenais pas de cette villa sur ce boulevard qui est aujourd'hui juste en dessous de chez moi. Chui du quartier et vais me permettre de faire un peu de pub pour une équipe de jeunes super sympas qui tiennent ce garage de réparation/voitures qui a pris la place de cette station-services disparue. Ma tuture en est très contente et moi aussi qui suis, présentement, dans le Var pour quelques jours de vacances totalement imméritées mais assumées. Pas question d'oublier de lire ( sans faute ) et commenter ( épisodiquement ) " Havrais-Dire " et d'adresser ses amitiés aux potavrais... M'enfin !
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L
Cher Dan,<br /> <br /> <br /> <br /> Rien que pour l'entretien et donc l'existence du bâtiment, il faut que la villa soit habitée. <br /> <br /> <br /> <br /> J'ai vu depuis mon message qu'elle datait de 1872 et avait abrité récemment un restaurant. Peut-être un autre restaurateur pourrait-il s'y intéresser ? Celui qui est parti a-t-il disparu ou a-t-il déménagé ? Pour quelles raisons ? L'emplacement compte beaucoup dans le commerce, et il faut avoir l'oeil ! Les frais du bâtiment ont-ils paru trop forts ? Etc.<br /> <br /> <br /> <br /> Je suis sûr que l'on pourrait trouver un couple qui achèterait la villa et la ferait valoir sous la forme de chambres d'hôtes ou de location de chambres et de studios avec certains services. Ce serait à mon avis la meilleure solution, et je pense qu'elle serait encore meilleure si les acheteurs s'attachaient à la villa comme d'autres à un monument historique en péril. Ils pourraient alors la décorer dans le "style Dufayel".<br /> <br /> <br /> <br /> Dans ma rue, sur une quarantaine de maisons, il y avait trois maisons de maître et le reste en maisons bourgeoises (de 180 à 350 m2 développés). L'un des couples des maisons bourgeoises a racheté la maison de maître qui subsiste (elle date de 1910 environ, c'était une maison d'industriel textile) et qui comprend 400 m2 au sol (il y a trois étages, cinq niveaux en tout !). Elle était précédemment exploitée comme maison de retraite. Les nouveaux propriétaires y font la plupart des travaux eux-mêmes : le mari est professeur de l'enseignement technique, il s'y entend bien et ne fait appel à des artisans que pour les travaux hors de ses compétences. <br /> <br /> <br /> <br /> La maison accueille des étudiants (en particulier des danseurs de l'école du ballet du Nord) et diverses personnes qui y séjournent à temps. La famille n'a pas de fortune et sa décision a été accueillie avec scepticisme, y compris par moi. Aujourd'hui on n'en parle plus, et ils n'ont pas l'air malheureux ni à la veille de partir. Plusieurs autres propriétaires du quartier ont pris le même parti, et il reste encore bien des maisons de maître peu ou mal utilisées qui pourraient servir de logements. On a préféré ces dernières années reconvertir des bâtiments industriels de Roubaix, comme on l'a fait il y a longtemps déjà à Lille (l'usine Leblan, une réalisation qui a fait date). Il y en a un de quatre étages près de chez moi, je n'ai pas vu ce que ça donne. Je vois qu'il est entièrement repeint en rouge orangé et qu'on a gardé la cheminée de la machine à vapeur.<br /> <br /> <br /> <br /> Cordialement. B.L.
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L
Cher Dan,<br /> <br /> <br /> <br /> D'autres cités balnéaires ou dotées d'une plage sont couvertes de galets et ne font cependant pas fuir les touristes. Si le début du front de mer du Havre a abrité les chantiers Augustin-Normand jusqu'en 1965, c'est parce que la Marine avait antérieurement affecté cette grève à l'activité de construction privée, en plus de L'Eure. Si la municipalité du Havre avait considéré en 1816 et années suivantes l'évolution de Boulogne et de Dieppe, qui devenaient des plages anglaises, elle aurait envoyé les nouveaux chantiers à L'Eure, où les entreprises suivantes se sont bien installées. L'autorisation pour l'hôtel Frascati n'est pas mieux réfléchie, mais on trouverait ailleurs de tels voisinages à l'époque.<br /> <br /> <br /> <br /> Les promoteurs immobiliers font ce que les municipalités qui délivrent les permis de construire leur laissent faire. Ce n'est pas pour rien qu'on a forgé il y a bien longtemps l'expression "vandalisme édilitaire" pour qualifier une attitude trop fréquente. <br /> <br /> <br /> <br /> Le boulevard Albert Ier, loti à partir de 1900 environ, avait l'allure d'un front de mer fait de villas bourgeoises devant la plage. Aujourd'hui les grosses villas sont inhabitables car elles ne correspondent plus au mode de vie des gens riches, qui ont perdu l'habitude de vivre au milieu d'une domesticité nombreuse et devenue très coûteuse et qui n'ont plus besoin de ces monuments d'ostentation pour recevoir chez eux. Il y en a bien encore, mais loin du Havre, et rares sont les Pinault qui habitent un château près de Paris et y mènent la vie de châtelain.<br /> <br /> <br /> <br /> Bien des plans d'aménagement, inspirés ou ordonnés par l'Etat français, ont défiguré de très nombreuses villes sous prétexte de modernité. Cela fait sourire, quand on considère que peu nombreux sont les immeubles du Havre encore debout qui datent d'avant 1900. Je pense qu'on voulait remplacer les villas bourgeoises servant de résidences secondaires par des appartements pour loger en permanence la population ordinaire. Pourtant ces villas peuvent être plus facilement transformées en appartements que des usines en général. Le boulevard Albert Ier serait ainsi une avenue résidentielle avec l'apparence d'un front de mer. <br /> <br /> <br /> <br /> La situation de Malo (-les-Bains), station à proximité immédiate du port de Dunkerque, est semblable à celle du Havre et elle ne fait pas fuir les touristes. C'est vrai qu'elle a une belle plage de sable fin. Malo a d'abord accueilli des villas d'armateurs, et il en reste beaucoup dont plusieurs en bois. La digue est bordée d'immeubles récents, en location et d'une hauteur raisonnable, l'intérieur de ce quartier a gardé un cachet "ancien", et Malo n'a pas été réduit en cendres comme Dunkerque.<br /> <br /> <br /> <br /> Le littoral belge, long de 60 km, a subi une transformation semblable, mais avec des immeubles de 10 à 20 étages construits sur le front de mer à la place des villas, et ce sont toujours des résidences secondaires pour satisfaire les besoins d'une population de dix millions et non plus quelques dizaines de milliers de riches. A noter que la première autoroute de Belgique a été construite de Bruxelles à Ostende.<br /> <br /> <br /> <br /> Cordialement. B.L.
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C
....Beaucoup de changements au cours de l’histoire de ce Boulevard ( comme pour bon nombre d'autres artères de notre Havre )...!!<br /> <br /> <br /> <br /> Et ce n'est sans doute pas fini..." Que sera sera " . :) <br /> <br /> <br /> <br /> Bon Dimanche à toutes et tous .
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E
Je viens de lire ces 2 dernières notes et les commentaires variés et intéressants sous ces notes. Tout ceci est très bien documenté. Dommage d'avoir démoli les belles villas. Les architectes actuels n'ont pas beaucoup d'idées, les immeubles neufs ne leur donnent pas trop de travail dans le sens artistique, c'est le moins que l'on puisse dire. Cela est triste quand on voit les photos anciennes et les photos actuelles. Merci beaucoup et bon week end à tous.
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D
Bonsoir Dan ... merci pour cette suite. <br /> <br /> Ca fait remonter des souvenirs tout ça car enfant ( j'avais moins de 10 ans ) je voulais que mes parents achètent cette villa aimé qui était poru le coup en ruine, bien sur mes parents riaient. Comme quoi j'ai toujours aimé notre patrimoine et toujours eu ce gout pour les choses anciennes. J'en ai pleuré de sa démolition et encore plus dégoutée en voyant cet immonde immeuble
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P
Bonsoir Dan<br /> <br /> Cette météo "caniculaire" m'occupe toute la journée, déjà trop courte, et la blogosphère reste en souffrance. Il est vrai que les plans d'urbanisme, les permis de construire et les cahiers de charges sont des affaires compliquées et pas toujours bien comprises. Bien que la villa "Aimé" n'entrait plus dans le cadre mais c'était tout de même dommage de la démolir. Et que dire de toutes ces petites stations service qui ont disparu en ville. Ce sont les grandes surfaces qui ont pris le relais. Excellent article encore une fois. Je te souhaite une belle fin de soirée et encore une bonne semaine.<br /> <br /> Amicalement: papy SChm
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L
salut DAN,<br /> <br /> je pense également qu'il y aura encore des changements sur ce boulevard..... mais nous ne serons probablement plus là pour les voir !... par contre la plage a évoluée dans le bon sens... et les aménagements en cours entre le sémaphore et St François vont nous offrir une belle aire de promenade !! mais ça, c'est une autre histoire ....... :o<br /> <br /> à plus mon pote !! :o
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G
Bonsoir, Daniel.<br /> <br /> D'abord, félicitations pour l'écriture blanche. Il est vrai que ça rend bien et je me demande bien quelle drôle d'idée avait été la nôtre d'opter pour une autre couleur.<br /> <br /> La série d'articles sur les stations services urbaines est très intéressante et elle me permet entre autres de découvrir des aspects du front de mer havrais que je soupçonnais absolument pas.<br /> <br /> Bravo encore et bonne fin de journée.
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J
Bonjour. Merci pour l'article.<br /> <br /> <br /> <br /> Pour l'anecdote, comme beaucoup d'enfants des années 1970 et 1980 nous allions faire gonfler des pneus de camion dans cette station-service pour les utiliser comme bouée dans la mer ! <br /> <br /> <br /> <br /> Pour parler des plans d'urbanisme, je dirais qu'on en fait un peu ce qu'on veut... Le bord de mer ressemble à un vaste bric-à-brac dans lequel chacun peut trouver son bonheur ( un peu de 19e, un peu de 1900, un peu des années 1960, un peu des années 2000, un peu de verdure...). Il semble assez stable mais rien ne dit que des promoteurs ne s'aviseront pas un jour d'y faire de grands changements... Je ne donne pas de piste de transformation car cela risquerait, hélas, d'en inspirer certains. Le bord de mer vaut de l'or. C'est ^peut-être pour cela qu'il ya une station Midas ! <br /> <br /> <br /> <br /> Le Ponant ou l'immeuble qui remplace la Villa Bien aimée n'ont pas un intérêt extraordinaire. Il reste heureusement la Villa Salacrou, un rare élément du patrimoine havrais pour lequel les gens se mobiliseraient réellement en cas de menace. <br /> <br /> <br /> <br /> Bonne journée
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E
Quelle pauvre "Villa Aimé", qui a aidé de " riches " promoteurs : ton article résume bien l'histoire de cette partie du Boulevard Maritime / Albert 1er...Il reste, heureusement , quelques maisons des années 1900 sur ce boulevard , et , comme tu le dis ,les Havrais s'opposeraient ,je pense,farouchement à la destruction de certaines villas ,dont Salacrou par exemple: que va-t-elle devenir ? Quant aux galets de cette plage , proche du centre-ville ,tu as dû courir dessus , étant enfant , comme nous tous ,avec ce bon souvenir qui restera gravé dans nos mémoires , et aussi avec cet avantage " touristique " de voir l'arrivée ou le départ de ces proches paquebots et porte-containers qui passaient devant nous ,alors qu'on se baignait ou faisait des pâtés à marée basse : bateaux que l'on ne voit pas à Deauville... ,qui a certes d'autres beaux atouts. Bravo pour cet article et bon dimanche ensoleillé. E.C.
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G
(Un petit coup de neuf dans "le plan d'occupation du blog"... et l'écriture blanche me va bien !)<br /> <br /> Pour l'occupation des sols sur le bord du Boulevard... y'a mieux... Mais comme vous dites le Havre avait une vocation industrielle.. Elle avait également un besoin impérieux de logements et sacrifier une villa pour construire un immeuble était raisonné. Peut être également que c'était là une bonne manne pour les architectes et grands entrepreneurs des années 1950-1970... mais là, je suis une mauvaise langue :-)<br /> <br /> Nos enfants et petits enfants aiment "leur plage caillouteuse"... c'est déjà une victoire.... même s'ils ne dédaignent pas les plages de sable fin de l'autre coté d'leau !
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G
Bonjour,<br /> <br /> C'est vrai que ce front de mer est construit de façon tout à fait anarchique, mais certaines constructions sont agréable à regarder, et je dois être aussi fêlé que toi, car je regarde aussi de ce côté.<br /> <br /> Par contre, je me suis toujours étonné que face à la mer, il n'y ai aucun hôtel. L'hôtel " Beau rivage" a disparu et celui du boulevard Clémenceau (toujours à l'état de trou) n'est pas vraiment sur le front de mer. C'est rare les stations balnéaires sans hôtel face à la mer. Et je pense que ça serait un petit plus pour le tourisme havrais.<br /> <br /> Bon dimanche ensoleillé
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B
Salut Dan<br /> <br /> <br /> <br /> Je viens de lire tes quatre derniers articles, très intéressant. C'est vrai que ces aménagements n'ont pas rendu le bord de mer très attrayant. Je dirai même que l'on a échappé à une horreur comme La Grande Motte, même si 'est déjà en parti le cas. Il est à regretter qu'il n'y ait pas de magasin ou une ambiance comme l'on retrouve dans les villes touristiques le long des plages comme Etretat ou d'autres. J'aime bien ces petites boutiques de souvenirs ou "artisanales". Ce côté de habité de la plage est froid et lugubre.<br /> <br /> <br /> <br /> Bon week end<br /> <br /> A+
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F
Bonjour Dan et Nicéphore,<br /> <br /> Que de complications! comme dit Hirel, mais surtout quel manque de projet cohérent pour rendre ce front de mer plus attractif. Heureusement on y vient seulement pour voir la mer.<br /> <br /> Néanmoins j'apprécie beaucoup ton article car j'ai vécu toutes ces transformations. Merci Dan, bon dimanche à tous<br /> <br /> FAH
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H
Bonjour DANIEL ,<br /> <br /> En effet que de complication dans ces plans d'urbanisme. Quant est il au HAVRE en ce qui concerne la "loi littoral " .Bon dimanche......
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