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HAVRAIS-DIRE Le blog de Dan et ses amis.
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  • Histoire du Havre, Sainte-Adresse, Sanvic, Bléville, quartier de l'Eure, Rouelles, etc. Illustrée avec des photos "avant-après". (Pour vous abonner cliquez sur flux RSS des messages ci-dessus)
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21 octobre 2018

La rue Henry Génestal 2/2

En 1944 le quartier subit d’intense bombardements. La rue Génestal est en grande partie détruite. Des témoins photographient les ruines et les Havrais désorientés devant ce désastre.

rue genestal (ancienne) MONTAGE ALGSur la photo de Jacques Lerat on peut voir le portail de la Banque de France. Sur celle en médaillon la rue avec les gravats encore en place.

 

Secteur nord HDV ALG 3La période transitoire entre l’avant-guerre et ce que nous connaissons aujourd’hui. Cerclé en rouge le portail de la Banque de France, avec en face l’ancienne rue Génestal. Cerclé en bleu l’école Saint Michel. Dans le carré vert le bâtiment de la CODAH, ici encore le garage Tanguy. Collection Dan.

Le secteur déblayé permet la construction de baraquements provisoires. Ils serviront de logements ou de boutiques pour les Havrais sinistrés.
Dans le journal du Havre de 1948 le journaliste Pierre Montigny jugeait le plan de reconstruction de ce secteur ainsi :
« Le triangle compris entre la Brasserie Paillette et la rue de Montivilliers (
Ingouville) et l’extrémité Est de la rue Jules Ancel, nous parait d’un remaniement assez baroque. Est-il nécessaire de supprimer la rue Henri Génestal et de nous priver de l’accès Nord-Sud représenté par l’ancienne rue Hyppolyte Fenoux ? »
Est-ce à la suite de la remarque du journaliste ? Toujours est-il que la municipalité décide en 1953 de créer un axe Nord-Sud avec l’avenue de la Résistance construite en 1960. Tracé jaune sur le plan.

 

remenbrement des ruesLe plan présenté en 1948. En rouge l’ancienne rue Henry Génestal (à noter que le prénom a été mal orthographié par le journaliste). En vert l’actuelle rue Henry Génestal. En bleu l’ancienne rue Hyppolyte Fenoux aujourd’hui disparu. En jaune l’avenue de la résistance, elle ne fait pas partie du plan de 1948, je l’ai rajoutée pour une meilleure compréhension.

Au début des années 1950 lors de la construction de ce qui deviendra le bâtiment de la CODAH, le photographe a pris cette partie de la ville englobant l’axe ancien de la rue Génestal et l’arrière de la cité commerciale Thiers.

Garage tanguy 7 détail ALG 2Les commerces provisoires et la cité commerciale 2 entre le bâtiment de la CODAH et la Banque de France 1. Collection Nicéphore.

 

BraqueDans la mesure du possible, le même point de vue de nos jours, l’entrée du bâtiment ayant été remanié il est impossible de se positionner au même endroit. Photo Dan.

 

Vu du ciel, l’ensemble du secteur est plus lisible. Lors du chantier de construction de l’avenue de la résistance, le photographe a pris le dernier vestige de l’ancienne rue Génestal et son nouveau tracé.

AVe de la résistance ALGEn rouge l’ancienne rue Génestal, et vert la nouvelle. Notez le toit en bleu de l’école Saint Michel, nous le retrouvons sur la photo ci-dessous. Collection Pascal Alinand.

© Siegfried SilliauLe même point de vue de nos jours. En bleu le toit de l’école saint Michel. © Siegfried Silliau.

Laissons le mot de la fin à Goé avec son regard bien particulier sur la reconstruction…

GOE_HAVRAIS-DIRE_23A_reconstruction_rue_génestal

*-*-*-*

Merci de votre visite.

 

 

 

Commentaires
C
Bonjour Dan, merci pour vos articles très intéressants. Vous dites que la rue Henry Génestal a été détruite pendant la guerre, il se trouve que mes parents y habitaient lors de ma naissance en 1946, dans un immeuble dont j'ai un vague souvenir et dont j'ai pu voir une photo. Nous en sommes partis en 1953. Auriez-vous des renseignements sur ces appartements qui étaient encore debout après la guerre ? Il y avait des grands balcons ou "loggias" au rez-de chaussée et effectivement l'extérieur était très dénudé. D'avance merci pour votre réponse, cordialement, Claudine
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K
Bonjour pour ce qui et de l'église saint michel, il existe en Seine Maritime un exemple de ce style néo Byzantin, l'église saint Rémy à Amfreville-la-mivoie à coté de Rouen ou encore Sainte-Anne à Paris témoigne de cette architecture. On peut se donner une idée de l’architecture de St-Michel avant sa destruction en 1944.<br /> <br /> <br /> <br /> Bon dimanche à vous chère dan.
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C
...Merci pour ce nouveau cour à la fois d'Histoire de notre ville et d'architecture...On y cerne mieux le passé et le présent de ce secteur complètement revu et corrigé par les événements .....Merci aussi à " Goé " pour son illustration pleine d'humour. :)
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A
Bonsoir à tous, <br /> <br /> un éternel débat.qui revient avec l'église Saint-Michel de septembre 1944 . Pouvait-on éviter de la raser?<br /> <br /> La vue depuis le sud est (presque) trompeuse (cliché © Havrais-Dire sept. 2014) avec une façade qui a encore de l'allure<br /> <br /> http://image.noelshack.com/fichiers/2018/43/6/1540654716-saint-michel-1.jpg <br /> <br /> <br /> <br /> La photo en vue latérale, elle, ne laisse pas de doute sur le caractère définitif de la destruction de Saint-Michel<br /> <br /> http://image.noelshack.com/fichiers/2018/43/6/1540654736-saint-michel-2.jpg <br /> <br /> <br /> <br /> Bonne soirée
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K
Bonsoir Dan, encore une fois un sujet qu'on ce régal de lire je me suis toujours demandé pourquoi les bombes de sept 1944 ne sont pas montés plus haut dans la colline vers le haut de Saint Michel, c'est d'ailleurs dommage car ce quartier j'aurais bien voulu le connaitre. Ce coin de la ville et mal connu et c'est une chance que vous nous le faîte découvrir. La photo du café ''le café des témoins" c'est ironie mais le nom c'est pour désignées les témoins de Jéhovah ou de la guerre ? Sur la photo (7 en partant du haut) l'école st Michel à t'elle été touché par les bombes ? d'ailleurs l'église du même nom d'avant guerre aurais pu être épargner car je trouve dommage d'avoir rasé cet édifice ? mais les anciens havrais ne l'aimer guère d’ailleurs elle été surnommé le grille pain pour son clocher. Bonne soirée Dan et continué à faire des sujets sur ce quartier là.
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L
Cher Dan,<br /> <br /> <br /> <br /> En consultant un livre que je viens d'acheter sur l'église Saint-Eloi de Dunkerque et en relisant un ouvrage consacré à Dunkerque dans la collection des cahiers du Patrimoine, deux ouvrages sérieux et bien illustrés, j'ai trouvé des données comparatives auxquelles je n'avais pas pensé.<br /> <br /> <br /> <br /> Si l'on considère la population, celle de Dunkerque comprend 14 000 habitants en 1714 et 21 000 en 1800, contre 19 000 au Havre. L'accroissement du Havre est fantastique au XIXe siècle, la population passant à 136 000 habitants en 1911, avant l'annexion de Graville. On cite quatre villes seulement ayant connu une telle croissance : Nice, Saint-Etienne, Roubaix et Mulhouse. Celle de Dunkerque stagne à 39 000 de 1886 à 1911 et baisse jusqu'à 31 000 en 1936. Les bombardements d'artillerie de 1915 à 1917ont fait de gros dégâts et auraient dissuadé certains sinistrés de s'y réinstaller. Après l'épreuve de la guerre de 1939, la population du port du Nord n'est plus que de 10 600 en 1946 et 27 500 en 1968, avant l' annexion de trois communes (Malo, Petite-Synthe et Rosendaël), qui la porte à 73 800 habitants en 1975. Ces communes avaient profité des activités, anciennes et nouvelles (la grande aciérie) pour loger les nouveaux habitants. Aujourd'hui, la population, y compris celle des deux communes associées récemment, s'élève à 89 000 habitants sur les 200 000 <br /> <br /> habitants de la communauté urbaine de Dunkerque créée en 1969.<br /> <br /> <br /> <br /> Dunkerque était, comme Le Havre, un des cinq ports de guerre avant 1789, et son bassin existe toujours dans l’arrière-port. C’était aussi un port marchand et un port de pêche. De 1870 à 1914 date son essor, qui en fait le 3e port français.<br /> <br /> <br /> <br /> Dunkerque a subi des bombardements d’artillerie de 1915 à 1917, qui ont détruit 410 immeubles et gravement endommagé la grande église Saint-Eloi. Les restaurations ont été anéanties par le conflit suivant : 1 524 immeubles sur 3 362 (45 %) ont été détruits, 805 sont fortement endommagés (24 %) et 1 032 (31 %) seulement réputés habitables. Contrairement au Havre, les dommages sont éparpillés sur toute la superficie de la ville, et ceci montre que les mobiles des Anglais étaient différents.<br /> <br /> <br /> <br /> Le MRU nomme Théodore Leveau (1896-1971) urbaniste en chef de Dunkerque en 1945 et Jean Niermans (1897-1989) architecte en chef de la reconstruction l’année suivante. Leveau fait accepter un plan respectant la tradition, et notamment la majeure partie de la voirie. Niermans, plus moderne, voudrait de larges avenues, et il parvient à convaincre la ville et l’évêché de démolir en 1957 la 2e église paroissiale de la ville, une ancienne chapelle conventuelle datant de 1772 et moins amochée que Saint-Eloi, pour en construire une nouvelle au nord de la ville, dans un quartier qui se peuple. On compte alors 45 maisons du XVIIIe siècle bien conservées, plus une cinquantaine d’autres plus ou moins dénaturées. La destruction de Saint-Jean-Baptiste est donc bien une faute. De plus, ces maisons ne se distinguent guère des immeubles massifs qui ont comblé les manques. Leveau pourrait avoir eu une certaine influence sur le plan de la ville, mais moindre que celle de Perret au Havre, qui a confiné son urbaniste hors de sa zone d’intervention. Leveau aurait préféré construire des maisons avec jardin, mais l’espace manque à Dunkerque. <br /> <br /> <br /> <br /> En 1949 commence le remembrement par le biais d’associations syndicales qui assurent la liaison entre les propriétaires sinistrés et le pouvoir et qui touchent les dommages de guerre. Le secteur à reconstruire comprend 66 îlots subdivisés en unités de chantier, issues du remembrement. Leveau se charge personnellement de plusieurs constructions, dont l’I.S.A.I. des îlots Sainte-Barbe, le seul réalisé à Dunkerque (192 appartements et 24 boutiques).<br /> <br /> <br /> <br /> Au milieu de 1952, les 2/3 de la ville sont en chantier, 645 logements et 214 magasins neufs sont disponibles. La reconstruction est considérée comme terminée en 1968, lors de la dissolution des associations syndicales de sinistrés. Autrement dit elle a été aussi lente qu’au Havre. Le résultat n’est guère satisfaisant pour les yeux : ces gros pâtés à façades de briques ressemblent à ceux de Saint-François au Havre, et il est très abusif de les comparer avec les constructions des quartiers sud d’Amsterdam entreprises après 1918 et dont l’ensemble, moins haut, compose à mon avis un chef-d’œuvre d'architecture et d'urbanisme.<br /> <br /> <br /> <br /> Cordialement. B.L.
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B
Bonjour Dan,<br /> <br /> Magnifique reportage clair et net pour le plus grand plaisir de tes nombreux lecteurs,et une piqûre de rappel de cette triste période de notre histoire...<br /> <br /> Les deux premières photos de ton reportage illustrent fort bien le désastre subi.<br /> <br /> Bonne journée et un clin d’œil à l'ami Nicéphore
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T
Salut Dan,<br /> <br /> Ca, c'est de l'article !<br /> <br /> Félicitations pour tout le travail que ça t'a demandé.<br /> <br /> Bonne soirée.
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J
Bonjour Dan,<br /> <br /> Encore merci pour cet article et ces explications on ne peut plus claires (je sais, j'ai un peu copié sur mes voisins du dessus :-) ) J'attendais d'avoir lu les deux parties pour passer commenter. La semaine dernière, j ai essayé de laisser un lien montrant les destructions de ce secteur, mais c'était un peu foireux, celui ci ne pointait finalement que sur le portail IGN. Voici donc cette photo (qui au passage, dans sa version originale, permet presque de voir ce qui se passe dans chaque maison) http://image.noelshack.com/fichiers/2018/43/1/1540176745-ignf-pva-1-0-1944-10-4019copie.jpg (entouré de noir, l'hotel de ville)<br /> <br /> J'aime lire ou écouter ce que les gens pensent de cette reconstruction Havraise. Souvent des débats passionnés. Je cite au hasard: " Ville Soviétique"; "Ville de béton"; "Ville moche"; Ville froide" mais aussi "oeuvre architecturale"; ville moderne" ou autres... Bref, les avis sont partagés.<br /> <br /> Mais voilà, en 1945, il faut bien reloger, et ce choix architectural vaut ce qu'il vaut. Il a redonné un toit à la population et a permis la reprise de la vie d'une ville morte. Je dis souvent, lorsqu'on critique "Ma ville" qu'il ne faut pas oublier que c'est une "ville neuve" , si le Havre vient d'avoir 500 ans, ce que l'on en connait à peu près tous, n'à que 70 ans et que tout bien pesé, tout ça répond assez bien aux besoins de tous. (ça, c'est un avis purement personnel et subjectif) .<br /> <br /> Finalement, ce qui est moche, ce n'est pas ce qui a été fait à l'époque, mais plutôt ce que nous en faisons. Les cités commerciales provisoires, ces petits villages dans la ville, remplacées par les arcades de rez de chaussée avaient bien plus de charme que les énormes zones d activités périphériques que nous construisons à tours de bras. Bref...<br /> <br /> Attends, je viens de me relire, ben je ne devrais pas écrire la nuit, je viens de faire un beau hors sujet. Les "heures sombres" du Havre me donneraient elles des idées sombres?...<br /> <br /> Je rentre dans le rang, voici un plan, vu aux AMH, et annoté "vers 1945", ce dont je doute puisque le tracé de l'avenue de la résistance y figure.<br /> <br /> http://avenio.ville-lehavre.fr/4DCGI/Web_DFPict/034/1Fi96/ILUMP5468<br /> <br /> <br /> <br /> Bonne journée mon copain, et à bientôt<br /> <br /> Jean Michel
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E
Bonsoir Dan ,excellent complément de la première partie de cette historique de la rue Henry Génestal ,et de son quartier. On en apprend beaucoup avec tes réponses aux questions , tes montages ,et la "pierre Perret " du dessinateur historique. Bonne soirée et merci. E.C.
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L
salut poto,<br /> <br /> allez... j'y vais aussi de mon coup de brosse à reluire ! :o.... franchement bravo pour ton boulot et tes explications !! si certains profs avaient utilisé ta façon de faire, je pense que j'aurais été meilleur élève !!....<br /> <br /> sinon je passe souvent par ici, et je verrai désormais ce quartier d'un autre oeil !<br /> <br /> bonne fin de journée, bonne semaine et bises à MJ ! :o
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G
Bonjour,<br /> <br /> Quand j'arrive sur votre blog je me dis : "bon, prends ton temps, relis bien les zones bleues, rouges, vertes… et tu vas bien comprendre… pas toujours du ler coup, mais je comprends… Quel beau boulot ! Toutes les photos aériennes nous permettent de mieux nous situer.. et le petit mot de la fin plein d'humour nous apporte un air de légèreté, après avoir visionner la lourdeur du désastre du bombardement. <br /> <br /> Bon dimanche ensoleillé.
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G
Il ne devait pas être évident de redessiner en peu de temps une ville après un tel désastre. Il fallait avoir une vue d'ensemble fonctionnelle et agréable à vivre, puis à quelques endroits, trouver les meilleurs raccords avec ce qui restait debout. Alors ça a pi donner ça et là quelques incongruités, mais dans l'ensemble, ça donne quelque chose de bien ordonné et aéré. Ce qui a été fait plus tard au Havre dans certains endroits non construits n'a semble pas été pensé avec la même rigueur et méthodologie, c'est dommage.
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G
La ville a perdue son ambiance d'avant guerre dont ma grand mère m'a beaucoup parlée pour retrouver une ville assez froide. On a retrouvé un peu cette ambiance avec la réunion de vieux navires pour les 500 ans.
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G
Le plus dur n'est pas forcement la perte matérielle mais la perte des repères, des souvenirs. Mes grands-parents paternels ont tout perdu à l'enclos des pénitents ou la grand-mère avait laissé ses affaires pour se réfugier en Eure et Loir.
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G
Bonjour,<br /> <br /> Pas besoin d'être lyonnais pour s'y perdre ! Néanmoins, en s'y remettant une deuxième fois, on arrive à se resituer, grâce à ton travail qui a du être énorme. Pour ma part, je me souviens des baraquements des commerçants où j'allais avec mon père porter notre poste de radio chaque fois qu'une lampe claquait pour le porter chez un marchand de radio, M. Naze.<br /> <br /> Bon dimanche ensoleillé, mais comme tu le dis, un pu frisquet
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L
Un article à lire "à jeun" cette semaine ! Un peu difficile à suivre pour un Lyonnais mais toujours intéressant et terrible par ces images de désolation. Quelle connerie la guerre comme le disait Prévert.<br /> <br /> La bise
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P
Bonjour Dan<br /> <br /> "Chapeau" pour cet article qui a dû te faire d'énormes recherches. Moi qui n'est pas le sens de l'orientation je me serai perdu dans ce dédale de rues. Et les photos des bombardements sont toujours aussi impressionnantes. Encore une fois bravo et bon dimanche l'ami (chez nous dans le brouillard). Excellente semaine. Les Franciliens arrivent demain, tu vois comme le temps file. Amicalement.<br /> <br /> Papy Scham
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A
Bonjour Dan,<br /> <br /> Une triste fin pour la rue Henry-Génestal, comme la photo la montre sommairement dégagée (par les pelles mécaniques des US Engineers dès la fin septembre 44). <br /> <br /> <br /> <br /> Pour compléter la discussion ouverte la semaine dernière sur le choix de modifier la disposition de certaines rues lors de la reconstruction, je donne la vue entière du plan d'urbanisme <br /> <br /> <br /> <br /> http://image.noelshack.com/fichiers/2018/42/7/1540103580-havre-urbanisme.jpg <br /> <br /> La majorité des modifications prévues ont été réalisées. à l'exception du prolongement du Bd François-1er et quelques ajouts introduits comme vous le signalez avec la rue de la Résistance..<br /> <br /> On remarque que le square Saint-Roch a résisté et a conservé son nom! Il faut dire que c'est le tollé général et un début de pétition qui a fait ravaler l'appellation de square Jean-Jaurès. <br /> <br /> Bonne journée,
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M
Excellent travail une fois encore. Est-il besoin de le dire ? Je pense que oui, le travail de recherche et l'article illustré ,compréhensible de tous le mérite bien ! Merci.
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