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HAVRAIS-DIRE Le blog de Dan et ses amis.
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29 juin 2025

Albert–René Morice dit « Albert René » Par Jean-Claude Le Guillou

Aujourd’hui Havrais-Dire donne la plume à Jean-Claude Le Guillou. Arrière-petit-neveu d’Albert René.

 

Albert–René Morice dit « Albert René »
Par J.-C. Le Guillou, août 2014

 

Albert-René Morice. Né au Havre le 27-04-1856
Publiciste, caricaturiste, peintre
Décédé au Havre le 27-06-1930 (sans postérité)
Fils de Pierre-Amable Morice, charpentier de navire originaire d’Arromanches (14) et de Eliza-Désirée Frémy (1) originaire d’Ablon (14)

 

(1) – Eliza-Désirée Frémy était la fille de Julie-Eliza Berthelot (1809-1875), issue d’une lignée de capitaines de navires honfleurais réputés depuis le début du XVIIe siècle. Le plus illustre avait été Pierre Berthelot (Honfleur 1600-Sumatra 1638) qui, après avoir été marin, était entré en religion sous le nom de « Père Denis de la Nativité ». Sa vie exemplaire et sa mort en martyr de la foi lui valurent d’être béatifié par le pape Léon XIII. (Il est aujourd’hui particulièrement vénéré dans l’église Ste Catherine de Honfleur, sa
paroisse.)

 

Né au Havre, Albert René avait été mis en nourrice peu après sa naissance chez un couple demeurant à Ablon au quartier du Noyer, à deux pas de la maison où vivaient ses grands-parents maternels Louis-Auguste Frémy et Julie-Eliza Berthelot.
Adolescent, il devint interne au collège de Honfleur. (2) Ce fut là qu’il se lia d’une amitié complice et durable avec son condisciple Alphonse Allais (1855-1905), dont on sait quelle fut la brillante carrière d’auteur humoriste.

 

(2) –A cette époque le collège de Honfleur était dirigé par Arthur Boudin (1836-1907). En juin 1893, son ancien élève Albert-René lui avait rendu hommage en dessinant son portrait à la plume, publié en
première page du premier numéro du Petit Normand de Honfleur, sous le titre « les gens de chez nous ».

 

En 1874, à la mort de son père, Albert-René rentra au Havre. Alors âgé de 18 ans, il commença sa vie professionnelle comme pigiste au journal du Havre. Il y resta jusqu’en 1876, moment où il fut contraint de s’acquitter de ses obligations militaires.
Rendu à la vie civile, on le retrouvait en 1880, collaborateur d’un hebdomadaire havrais nommé la « Revue comique » auquel il fournissait des caricatures qui connurent un succès considérable, tant auprès des lecteurs que des critiques : « ce dessinateur, au crayon à la fois souple et gras, rappelle quelquefois Daumier, et traite les sujets politiques avec un style remarquable. » En décembre 1885, s’étant lassé de sa collaboration avec le directeur de la Revue Comique (M. Lepelletier), Albert-René était entré en relation avec les imprimeurs-éditeurs havrais Maudet et Godefroy. Ensemble ils fondèrent un journal
satirique qui, nommé « la Cloche Illustrée », remplaça « la Cloche havraise »
précédemment publiée par Maudet et Godefroy.

 

C’est aussi à cette époque que Albert-René créa un spectacle d’ombres chinoises
burlesques qu’il présentait dans une salle à l’entresol du Café des Fleurs place Gambetta au Havre. Non pas seul, mais en compagnie d’une dizaine de joyeux compagnons dont l’un des rédacteurs de « la Cloche » Albert Fox (pseudonyme de Albert Herrenschmidt), des poètes Henri Brière et Charles Picard, des peintres Arvid Johansson (futur peintre officiel de la Marine) et Georges Fauvel (qui venait de remporter sa médaille d’or au Salon), et le pianiste-compositeur Ph. Simon. On peut aussi citer Heuzé, Huré et Lenfant de Metz.

 

C’était dans cette minuscule salle que, de temps à autres, Alphonse Allais venait
prêter main-forte à son ami d’enfance Albert-René. Arrivant toujours à l’improviste, il se trouvait un rôle en se mêlant à l’orchestre où il n’hésitait pas à battre la grosse-caisse. Le soir de la première du spectacle intitulé « La fondation du Havre », Henri Brière fit observer à Allais « qu’il battait à contre-temps et que les arquebusiers de François 1er ne pourraient jamais défiler en bon ordre sur une cadence aussi invraisemblable ». Ce à quoi Alphonse Allais répondit : « C’est bon. Vous venez de violer les mondes d’harmonie que j’ai dans le cœur… Le tambour lâcha ses baguettes, se drapa dans sa dignité d’homme de mesures méconnu, fit un beau geste et disparut… Allais avait déjà repris le train de dix heures… »  Bien sûr Allais avait feint l’indignation, uniquement pour ne pas rater le train de Paris… Du reste son amitié complice avec Albert-René ne se démentira jamais, et l’on en trouve
encore la preuve lorsqu’ils composèrent ensemble la revue « Eh ! Placide » en 1901 à Paris.

 

 

Après le Café des Fleurs, était venue la période de L’Alcazar, un joli théâtre de style hispano-mauresque qui se trouvait rue Thiers derrière l’Hôtel de Ville du Havre. Là, en plus des ombres chinoises, Albert-René et ses amis avaient commencé à jouer ou faire jouer des petites scènes satiriques qui s’enchaînaient pour former une sorte de revue. Peu après qu’un incendie eut détruit l’Alcazar (1890), Albert-René monta sa première vraie
revue à grand spectacle avec décors et costumes (saison 1890-1891) dans la salle de concerts « Sainte Cécile » (54 rue Frédéric Lemaître près des Halles). Bientôt remaniée par l’architecte Théodore Huchon, cette salle devint le « théâtre des Folies-Bergère » où, au fil des années, Albert-René allait faire jouer plus de 100 revues qui ont marqué leur époque.

 

 

En même temps, dans l’hebdomadaire « la Cloche Illustrée », Albert-René publiait maintes caricatures illustrant des articles humoristiques sur divers sujets d’actualité
nationale ou locale. Au milieu des années 1890, l’une des personnalités havraises les plus malmenées par ses caricatures était M. Auguste Rispal. Il faut croire que celui-ci n’avait pas tenu rigueur à Albert-René de l’avoir souvent raillé, bien au contraire, puisque
lorsqu’il fut élu député de la Seine-Inférieure en 1897, Auguste Rispal fit de son
caricaturiste son secrétaire personnel et l’emmena à Paris avec lui.

 

C’est ainsi qu’Albert–René s’installa avenue des Tilleuls, c’est-à-dire dans un secteur idéalement bien placé pour lui, à mi-pente de Montmartre, et à deux pas du cabaret « Le Chat Noir » boulevard de Clichy. Bien organisé, il aménagea son emploi du temps : le matin était réservé aux séances de travail chez M. Rispal, puis à la rédaction du courrier officiel ; à midi (et le soir) venait le moment de l’apéritif quotidien entre amis dans un café de la rue Lepic. C’était l’instant privilégié où il pouvait observer le petit peuple de la rue et les
bourgeois de passage ; l’après-midi, il pouvait se consacrer à ce qu’il aimait : brosser les caricatures qu’il fournissait au « Charivari », rédiger la trame de ses revues, et soigner ses pamphlets illustrés, dont le plus virulent (et contestable…) fut les « Les Comberies ».

 

 

Talentueux dans tous les genres artistiques, Albert-René était aussi un bon peintre-paysagiste. Très rigoureux dans son travail, il commençait chacune de ses œuvres « sur le motif » par un ou plusieurs croquis au crayon sur un petit carnet, puis par une esquisse à l’huile sur bois ou sur carton, avant de réaliser sa toile en atelier. Ses paysages de la
campagne normande, toujours d’une facture agréable, peuvent se classer dans le genre de « L’Ecole de Honfleur ». Il en subsiste un assez grand nombre, aujourd’hui conservés dans la descendance de sa nièce Germaine Morice (3), et dans plusieurs collections privées (car Albert-René offrait et vendait beaucoup). De son œuvre peinte, qui mériterait d’être mieux connue, se dégage principalement une intéressante vue de la plage du Havre à marée basse, prise depuis Sainte-Adresse. (Coll. Part.) ainsi qu’une vue de l’entrée de Honfleur en venant de Pennedepie (Musée Eugène Boudin, Honfleur, Donation Hambourg-Rachet).

 

(3) Germaine Morice avait épousé en 1912 le peintre Achille-Eugène Godefroy (1882-1914), estimé pour ses œuvres peintes dans le gout classique. (Au Havre, le Musée « MUMA » conserve la toile de son prix de Rome 1904). Leur fils Georges Godefroy (1912-1974) fut l’auteur de plusieurs études historiques et de nombreux romans policiers, dont certains furent adaptés au cinéma. En particulier « La Horse » qui se déroule au Havre, et « l’homme à la Buick », tourné à Honfleur en 1966.

 

 

 

Peu après sa mort en 1930, sa mémoire fut honorée par la municipalité du Havre qui lui consacra une « Place Albert-René » dans le centre-ville. Il était alors question d’orner cette place en y plaçant un buste en bronze dont la réalisation serait confiée à Alphonse Saladin sculpteur et conservateur du Musée des Beaux-Arts du Havre. Saladin exécuta le buste en plâtre (il existe encore) mais, faute de crédits, la fonte ne se fit pas. Quant à la Place elle-même, anéantie par les bombardements de 1944, elle a été reconstruite et rend toujours hommage à la mémoire d’Albert-René. (4)

 

 

(4) – Sources : archives familiales de ses petits-neveux, Notice officielle des Archives Municipales du Havre, dans la rubrique personnalités :( Consultable sur le site des Archives).  Arch. Départ. Du Calvados. Notice biographique par Paul Védrine « Marrons sculptés », édit. Maudet & Godefroy, Le Havre 1887 ; p.p. 119 à 125. Journal « Havre Libre » 24-04-1956. D. Bougerie « Honfleur et les Honfleurais » Tome V, édit. Marie, Honfleur, 2009, p. 110.

 

*     *     *     *     *

La semaine prochaine un autre témoignage, celui de Yvette et Roger Garreau, ce
dernier était le commandant du « Liberté » lorsqu’il a rompu ses amarres dans le port du Havre. Un récit à chaud des circonstances de l’incident.

 

Merci de votre visite

Commentaires
E
Quel beau passé et belle découverte de Albert René né en 1856 ....Belles 11 photos ...J'ai regardé un peu tard ,ayant des enfants ,petits-enfants à la maison ! c'est l'été ! Encore merci et bisous ++ à toi et Marie Jo . E.C.
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H
Bonsoir Étienne,<br /> Il faut savoir profiter de ses enfants et petits-enfants quand c’est possible et avec ce beau temps ce devait être agréable d’être dehors avec eux à l’ombre bien évidemment.<br /> Albert René méritait bien ce court article si riche en illustrations, peut-être faudrait-il écrire l’histoire complète de cet artiste, j’espère qu’un biographe aura cette bonne idée un jour.<br /> Bonne soirée à la fraîche Étienne et Odile.<br />
F
Bonjour Dan et Monsieur Le Guillou,<br /> Quel plaisir de lire cet article et de connaître à fond la carrière d'Albert René, car j'ai beaucoup déroulé les microfilms de la Cloche, avec délices ! Cette publication reflétait avec humour, sarcasme aussi, la vie havraise de l'époque.<br /> Puisque le plâtre d'Alphonse Saladin existe toujours, ce serait bien d'avoir enfin l'effigie d'Albert dans son square.<br /> Et peut être aussi publier sa biographie pour avoir encore plus de détails ?<br /> Je souhaite à chacun une bonne semaine.
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H
Bonjour Françoise,<br /> J’aimerai aussi que le buste d’Albert René soit réellement réalisé en bronze, en espérant toutefois qu’il ne connaisse pas la même sort que celui de Léon Meyer au square Érignac. Je n’ai pas souvent consulté cette revue « La cloche » mais d’après tout ce que l’on en dit c’est une lacune que j’aimerai bien comblée un de ces jours.<br /> Quant à publier sa biographie je suis entièrement de ton avis, j’espère qu’un jour quelqu’un, ou un membre de sa famille, prenne la plume et nous raconte par le menu la vie de cet homme tout à fait extraordinaire.<br /> Bonne (chaude) journée Françoise.<br />
G
Belle découverte !! je connaissais de nom mais pas son superbe travail de caricaturiste et de peintre. Merci beaucoup !!
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H
Bonsoir Goé,<br /> Toi comme moi nous sommes des peintres, et j’avoue avoir été très séduit par les tableaux d’Albert René, un talent qui mériterait d’être mieux connu et surtout vu !<br /> Il faut remercier monsieur Le Guillou, c’est grâce à lu que nous avons pu découvrir ce homme de talent, de plus, moi j’ai découvert mon ancien patron, Georges Godefroy, alors qu’il n’était qu’un enfant, j’ai donc connu quelqu’un qui a côtoyé Albert René, la vie prend de drôles de chemins parfois… <br /> Bonne fin de journée Goé ! <br />
E
Merci pour la découverte de ce talentueux Albert René. Magnifique tableaux ! On y apprend plein de choses sur cet artiste. Bon dimanche à tous.
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H
Bonjour Élisabeth,<br /> Moi le premier j’ai appris beaucoup de choses avec ce récit, et j’ai découvert ses tableaux. Cet homme à mon avis, n’est pas assez connu des Havrais, cet article on va peut-être combler un peu cette lacune.<br /> Bonne fin de journée Élisabeth.<br />
L
Bravo Daniel, tu sais inviter des gens talentueux et intéressant. Comme Agnès, je ne connaissais de cet homme que sa place ! Merci de nous "culturer" ! Bon dimanche. Amitiés.
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H
Bonjour Didier,<br /> Un jour j’ai invité « quelqu’un » à la SHED à faire une conférence sur les gaulois, je n’ai jamais regretté cette invitation bien au contraire, suivez mon regard… 😉<br /> Alors inviter une personne à nous raconter l’histoire d’Albert René je pense être dans la même philosophie et ce pour le plaisir de tous et de chacun.<br /> Bon dimanche à toi et Michèle.<br />
A
Bonjour Dan,<br /> <br /> J'avoue que d'Albert-René, je ne connaissais que la place !<br /> <br /> Cet article très bien documenté de la part de son petit-neveu me permet de découvrir l'homme qu'il fut.<br /> <br /> Démarrer pigiste au journal mène loin on dirait !<br /> <br /> Je ne m'étais pas lassée de tes rubriques cinémas et je compte bien acheter "le" livre quand il sera en librairie"<br /> <br /> Personne n'a fait avant toi cet énorme boulot de recherche cinématographique havrais<br /> et je me pense que c'est certainement "ton oeuvre" !<br /> <br /> Passe un bon dimanche Dan !
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H
Bonjour Agnès,<br /> Merci pour ton commentaire encourageant, je vais continuer à ouvrer pour qu’un jour un livre puisse paraître sur les cinémas du Havre, j’ai déjà l’éditeur, ne me reste qu’à réécrire ces articles car un livre ce n’est pas comme un blog.<br /> Pour Albert René, beaucoup de Havrais connaissent ce nom en raison de la place publique qui porte ce patronyme. De plus, c’est tout à fait le genre d’article que Havrais-Dire aime à publier, c’est-à-dire des sujets qui auraient tendance sinon à tomber dans l’oubli. On constatera la semaine prochaine que ce sera du même tonneau. <br /> D’ici là, bonne semaine Agnès<br />
G
Bonjour Dan,<br /> Enchanté ! Jusqu'à aujourd'hui, Albert René n'était pour moi qu'une plaque de rue. Maintenant, c'est un havrais aux multiples talents qui n'est pas honoré à la hauteur qu'il mérite. Si ce buste ne trouve pas le financement nécessaire à son élaboration, il y aurait de quoi lui consacrer une exposition temporaire au Muma.<br /> Bon dimanche
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H
Bonjour Gérard,<br /> En écrivant il y a quelque temps, mon article sur les Folies Bergère, où Albert René officiait, je me suis rendu compte que cet homme n’avait pas la considération qu’il méritait. Le présent article le remet sur le devant de la scène ce qui est tout à fait mérité. Le buste en plâtre existe, mais quel édile aurait la volonté de le réaliser en bronze ? Quant à faire une exposition au MuMa avec ses œuvres, il faudrait que j’en parle à mon amie Géraldine Lefebvre sa directrice, ça en vaudrait la peine.<br /> Bonne journée Gérard et Michèle.<br />
L
Mon cher Daniel<br /> Voilà que nous changeons de domaine en ce dimanche ! Des tableaux qui nous envoient une bouffée d'air du large, le bruissement des campagnes cauchoises, les fameuses caricatures de la Cloche illustrée entre autres....<br /> L'occasion pour toi de prendre un peu de repos après ton superbe travail de recherches sur nos salles obscures. Un travail méticuleux, pointilleux et exhaustif autant que faire se peut. On ne peut traiter un tel sujet partiellement ( j'en sais quelque chose !) <br /> Merci d'ouvrir les portes de ton blog , c'est toujours un plaisir de s'y faufiler et merci à l'auteur de cet article aujourd'hui. <br /> Bon dimanche mon ami.
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H
Bonjour Françoise,<br /> Ça fait du bien de « changer d’air » de temps en temps n’est-ce pas, et là ça devenait nécessaire. Mais comme je l’ai dit précédemment il fallait que quelqu’un s’y colle et c’est moi qui me suis mis en selle, mais je ne savais pas que ce « cheval » allait me conduire aussi loin. On dit habituellement : « qui veut aller lin ménage sa monture » mas là c’est le cavalier qu’il faut ménager !<br /> Bon dimanche Françoise.<br />
F
De nouveau des articles sur ces "célébrités" du Havre dont je ne connaissais pas l'histoire .... Merci pour cet article !
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H
Bonjour filmagique,<br /> Havrais-Dire est là pour ça, faire connaitre la ville et ses personnalités avec des reportages inédits, et que vous ayez pris plaisir à le lire nous ravi.<br /> Bon dimanche filmagique.<br />
L
j'avoue à ma grande honte m'etre un peu lassée des reportages sur les cinémas, je reconnais votre travail de recherches superbe, mais c'était trop long, aujourd'hui je ous retroue avec un très grans bonheur, et cet univers là je l'apprécie daantage mais je reconnais et vous remercie encore pour tout votre travail, et votre documentation est magnifiquement illustrée. Merci encore
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H
Bonjour Mireille,<br /> Je reconnais que mes articles sur les cinémas devaient être lassant à la longue, je le conçois bien volontiers. Mais ce travail n’ayant jamais été effectuée par mes prédécesseurs il fallait bien qu’il soit accompli par quelqu’un. Maintenant quiconque voudra avoir des renseignements sur ce sujet saura où aller pour en savoir plus.<br /> Je vais faire une pause comme chaque année pendant 3 mois, et j’avoue que j’y aspire de toute mes forces, ce sujet sur les cinémas m’ayant quelque peu épuisé. A la reprise en septembre ou octobre je pourrais reprendre le cours habituel de mes sujets avec un thème différent chaque semaine ou presque.<br /> Bon dimanche Mireille.<br />
B
Cher DAN, un voyage dans la peinture et les peintres. Un domaine que vous maîtisez aussi.<br /> Beau reportage.<br /> Belle peinture de la plage du Havre vue de Saint de Adresse. Un chemin tant parcouru pendant mes 11 ans d'enseignement à l'hydro de Sainte-Adresse.
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H
…eh oui, plus le temps passe moins j’ai de commentaire, la lassitude des lecteurs sans doute, mais chaque commentaire est apprécié vu le temps que je passe à travailler sur mon blog !<br /> Bon dimanche Olivier ainsi qu’à tout ton entourage !<br />
H
Bonjour Olivier,<br /> J’ai en effet fréquenté le milieu des peintres très longtemps, mais depuis quelques temps cela m’est devenu difficile voire impossible. Quant à la peinture de la plage, elle est absolument magnifique et qu’elle te rappelle le chemin que tu empruntais tous les jours pour aller travailler pendant 11 ans n’est pas étonnant, il y a de quoi se forger des souvenirs avec tout ce temps ! <br /> Bonne continuation Olivier !<br />
B
C'est bien la première fois que j'ai un premier commentaire sur votre travail ;-)