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HAVRAIS-DIRE Le blog de Dan et ses amis.
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  • Histoire du Havre, Sainte-Adresse, Sanvic, Bléville, quartier de l'Eure, Rouelles, etc. Illustrée avec des photos "avant-après". (Pour vous abonner cliquez sur flux RSS des messages ci-dessus)
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31 mai 2015

La cantine place Gambetta

La reconstruction du Havre a nécessité une nombreuse main-d'œuvre. La ville fut, de 1945 à 1964, un vaste chantier coupé de ce qui fait la vie d'une cité, à savoir les commerces les restaurants etc. Dans cette ville en devenir il était difficile de s'abriter, soit pour  manger ou simplement se réunir. Les cabanes de chantier n'étaient pas assez grandes et confortables pour ces usages. Pour pallier cet inconvénient on a construit deux cantines, l’une à Saint François, l’autre sur un terrain libre et centralisé, la place Gambetta. Le bâtiment était très vaste avec plusieurs salles et une cuisine dont la cheminée était bien visible au dehors. L'électricité et le téléphone étaient installés ce qui faisait de ce lieu non seulement un endroit où il faisait bon faire une halte, mais également où l'on pouvait établir des contacts avec l'extérieur.

 

Cantine 01 ALGLa rue de Paris vers le sud, avec, à droite, la cantine place Gambetta. Collection Nicéphore.

004 ALGLe même endroit en 2015. Photo DAN.

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Deux exemples des conditions de travail des bâtisseurs à cette époque.

N- 50 (25-01-1951) ALGDu côté de Saint François en 1951. Collection Nicéphore.

 

V-57 1-04-1952 RTC ALGAu sud de la place Gambetta en 1952. Remarquez en arrière-plan, la cantine place Gambetta. Collection Nicéphore.

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Deux exemples de cabanes de chantier :

 

AVe Foch (4) ALGL'avenue Foch en cours de finition, les cabanes de chantiers sont encore en place. Collection Nicéphore.

 

V-57 3-10-1952 ORI ALGJuste au sud de la place Gambetta le V-57 en construction avec ses cabanes de chantier. On peut remarquer la cantine sur cette même place. Collection Nicéphore.

 

V-57 3-10-1952 RTC ALGUne vue rapprochée de la précédente photo avec la cantine bien visible sur la place Gambetta. Collection Nicéphore.

Jean-Paul Moutier (2) ALGAvec la même perspective, mais vu de plus près, la vision de cet endroit en 2015. Photo Jean-Paul Moutier.

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Merci de votre visite.

 

 

Commentaires
P
encore un sujet auquel on n'échappe pas , la cantine chez Zizi place Gambetta , une bonne cuisine et des copains , d'excellents souvenirs pour mon père aujourd'hui fort âgé
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H
Bonjour Élisabeth,<br /> <br /> Vous avez tout à fait raison en ce qui concerne les anciens havrais qui ont du s'habituer à cette ville en béton. Mes parents qui habitaient à Sanvic n'ont pas trop souffert de ce changement, par contre ceux qui vivaient dans les quartiers complètement détruits ont mis plus d'une décennie avant de s'y habituer. Max Bengtsson, un historien et ami me disait que lui même avait mis du temps pour s'y accoutumer, et que la vie sociale de son quartier (entre Notre Dame et le boulevard François 1er) n'est vraiment réapparue qu'au bout de 20 ans.<br /> <br /> Merci pour votre commentaire et très bonne fin de journée Élisabeth.
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E
Avec votre note, on se rend compte du travail énorme à déployer pour tout reconstruire. Je lis les nombreux commentaires des uns et des autres. Ceux qui avaient vécu l'avant on dû se réhabituer à un nouveau paysage et progressivement, tout cela fend le coeur certainement. Merci et bon dimanche.
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F
Bonjour Dan. De retour de vacances, je découvre ces émouvants clichés, pour ceux qui comme moi ont vu la ville se reconstruire et entendu le bruit des pieux, qu'on n'identifiait pas à ce moment là. On n'imaginait pas en traversant ces chantiers, cartable sous le bras, en entendant tous ces ouvriers siffloter, ce qui s'était passé à cet endroit. Cette vaste reconstruction qui se déroulait sous nos yeux de lycéens, ne nous interpellait même pas. On avait 11, 12 ans avec les copines et on était en train de reprendre possession de la vraie ville, de marcher dans les pas de nos parents, là même où le paysage leur arrachait le coeur et les larmes. Ces photos et l'immense chantier qui s'ouvrait, c'était un peu comme le Phénix qui renaissait de ses cendres. Mais nous ne le savions pas. Merci de nous faire découvrir ces clichés inédits qui ont dû être pour toi comme un trésor retrouvé! Bonne fin d'après-midi. Françoise B
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B
Bonjour Dan,<br /> <br /> Du très bon boulot encore une fois avec cet excellent reportage sur la cantine de la place Gambetta et une grosse même très grosse participation de notre ami Nicéphore. Vous formez vraiment une équipe de premier plan.<br /> <br /> Perso je n'avais jamais vu des clichés de ce lieu d'une telle qualité.<br /> <br /> Félicitations les amis.
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T
Salut DAN.<br /> <br /> Tu pourras féliciter Nicéphore de ma part pour ces superbes photos de la reconstruction, qu'on ne voit pas souvent.<br /> <br /> Un bel article, comme toujours.<br /> <br /> Bonne semaine.
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J
Bonjour à tous les deux. merci pour les photographies.<br /> <br /> <br /> <br /> Il faut à tout prix se sortir de l'idée que tout a été dit sur la Reconstruction. Je viens encore de découvrir de nouveaux dossiers sur de multiples entreprises havraises ou de particuliers qui ont été déplacés d'une rue à l'autre ou d'un quartier à l'autre à cause de la guerre. <br /> <br /> <br /> <br /> D'autre part on oublie que les travaux ont pu durer très longtemps en ce qui concerne certains aménagements. Pour m'intéresser au quai de Lamblardie, j'ai vu qu'il existait un dossier de travaux qui s'arrête en ...1980. On se rend compte que tout était provisoire à l'époque. Chacun se logeait où il pouvait et dès qu'il y avait des travaux à faire il fallait bien évacuer ceux qui étaient sur place...
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J
Belles photographies, elles sont celles de mon enfance, et mais comme certains lecteurs l'ont noté, on vivait à côté de ces chantiers sans y prêter attention. Même si on considère qu'il a fallu 20 années pour reconstruire la ville, l'avancement des travaux a été rapide. La clinique François 1er a du être ouverte en 1956. Il faut dire que le centre ville se situait ailleurs, de la place Thiers au Rond Point et pour ma part j'ai vraiment découvert les quartiers reconstruits au milieu des 50's. Les travailleurs portent le béret, un couvre chef courant à cette époque, et puis ils sont Français, mais aussi Espagnols, Italiens et Algériens. Pour tout dire les conditions de logement demeuraient précaires pour beaucoup de Havrais comme pour les travailleurs étrangers venus en France pour raisons économiques. Camps de travailleurs quai Lamblardie, rue François 1er, place Gambetta, et camps de Havrais partout dans la ville. Soquence à l'est du stade Deschaseaux est peut être le dernier à avoir disparu. Mon école primaire était un baraquement en bois, chauffé avec un poêle à charbon. Les Havrais n'ont pas fêté la libération de leur ville comme ont pu le faire les Parisiens. Il faut relire « Paris brûle-t-il » Au Havre les drapeaux étaient en berne. Bonne soirée.
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H
Salut mon pote,<br /> <br /> Voila qui complète parfaitement ma réponse précédente, car j'ai connu ce centre d’apprentissage au fort de Tourneville, (à cette époque je ne savais pas que s'en était un d'ailleurs) et c'est là que j'ai fais la connaissance de quelques ouvriers venus d'autres ville et qui trouvaient là gîte et couvert, car le fort servait aussi de foyer aux ouvriers. <br /> <br /> C'est le père d'un copain qui s'occupait de la cantine du fort et moi tout bézo je jouais avec mon ami dans ce fort déserté par les militaires, en tous cas je n'en ai pas vu à cette période là. (1952-53)<br /> <br /> A bientôt Phyll !
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L
re-salut poto,<br /> <br /> plus personnellement, je rajouterais que mon papa avant de faire partie de la grande famille du PAH (en 1952) avait passé et obtenu son CAP de menuisier au fort de Tourneville où le centre d'apprentissage était implanté à l'époque...... il semble me souvenir qu'il était employé chez "THIRAUT-MOREL" et il posait des portes, des fenêtres, des plinthes etc...... je pense qu'il a dû en poser un... certain nombre !!! :o<br /> <br /> voilà.... c'est un peu perso, mais que seraient nos souvenirs si on ne les partageait pas ?!.....<br /> <br /> bonne fin de journée, à + !!
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H
Bonjour Eva,<br /> <br /> J'ai connu quelques-uns de ces ouvriers qui travaillaient sur ces chantiers, c’étaient des hommes dur à la tâche, et si cet article peut leur rendre hommage j'en serais ravi. On oublie (parfois) trop souvent la main de l'ouvrier qui se trouve derrière chaque objet manufacturé, la vie est faite de ceux qui conçoivent mais aussi qui fabriquent ces objets, autos : maison etc.<br /> <br /> Bonne fin d'après-midi Eva !
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E
Bonjour Dan ! J'ai regardé attentivement toutes les photos, et j'ai lu tous les com ! Les photos en noir et blanc rendent encore plus durs ces grands chantiers. Les ouvriers comme des fourmis dans les gravas, et parmi les matériaux difficiles à manipuler... on imagine les dures journées de ces gens, et les photos d'autrefois sont heureusement là pour leur rendre hommage. Bonne fin de journée Dan
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L
Toujours le coup d’œil "décalé" bravo ! Pas de barrière, pas de casque, mais priorité à la bouffe. C'est tout nous !!!<br /> <br /> Bises les gones
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F
Bonjour Dan,<br /> <br /> Oui, la VDH est bâtie sur des pieux, car autrefois la Seine coulait par là, et le terrain est instable, et l'eau pas loin. Je me souviens en 1953-55 du bruit des machines qui enfonçaient les pieux toute la journée.<br /> <br /> Beau reportage encore, grâce à internet je me sens comme chez moi<br /> <br /> Bonne journée à tous<br /> <br /> FAH
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T
Une cantoche dont l'père ne se souvient absolument pas alors qu'il a dû passer devant maintes fois en solex... ouais, comme le Grand Charles, je trouve que parler de soi à la troisième personne, c'est d'un chic, que diantre... et pourtant, moi aussi, comme les potavrais qui ont déjà commenté, et avec quel talent, cet article " tout à fait remarquable ", comme on dit dans les milieux autorisés, j'ai connu ce Havre en chantier sans vraiment m'en rendre compte sur le moment... l'insouciance de l'enfance, effectivement... comme c'est étrange, étrange, vous avez dit étrange, comme c'est étrange... <br /> <br /> en tous cas, un grand bravo à toi et à Nicéphore pour ce reportage passionnant...<br /> <br /> Havrais Dire, nouvelle formule a terminé son rodage... là, maintenant, sacré vin Dou, ça tourne à plein régime ct'affaire... et pour notre plus grand plaisir...<br /> <br /> Epicétou...<br /> <br /> M'enfin !
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C
Une visite rapide depuis Rolleville ! Oui nous ne sommes pas loin puisque je déménage ma mère cette semaine...Une sorte de reconstruction pour elle. Et un vrai chantier pour nous ! Amicalement. Bernard
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A
Amusons nous un instant en examinant les clichés.<br /> <br /> Regardez comment étaient faites les clôtures autour des chantiers: un piquetage et des barrières peu élevées un peu mieux que symboliques. <br /> <br /> Mais à cette époque il y avait un gardien de nuit sur les chantiers, avec une lampe qu'on voyait allumée toute la nuit dans sa cabane! Et le bonhomme investi de ses responsabilités faisait des rondes, tout seul à garder le chantier. Un autre temps.
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A
Bonjour Dan,<br /> <br /> Bravo pour ce travail. <br /> <br /> Ayant été témoin de cette reconstruction je vais nuancer la portée de certains des commentaires qui sont apportés.<br /> <br /> La sécurité n'était pas abordée de la même façon qu'aujourd'hui, mais il existait alors une énorme différence: la pression sur les ouvriers et la recherche de vitesse d'exécution de l'ouvrage étaient bien moindre qu’aujourd’hui. <br /> <br /> D'autre part la présence d'échafaudages de bois se justifiait 1)la rareté et le prix de l'acier à l'époque, les échafaudages métalliques étaient employés quand la hauteur le nécessitait 2)l'excellente résistance du bois aux contraintes des rafales de vent quand l'échafaudage est bien monté. (nota: en Asie, rien de nouveau, les échafaudages sont en bambou pour résister aux typhons!)<br /> <br /> <br /> <br /> La phase de fouillis que vous avez remarquée sur la plate-forme du chantier avait été précédée par une énorme préparation qui elle était très organisée. <br /> <br /> Après l'arasement des ruines, traçage des axes de circulation et la mise à niveau (un rehaussement général par apport des gravats, de l'ordre d'un mètre aux ISAI si ma mémoire est fidèle, pas loin de 2 mètres au bout de l'avenue Foch), réfection des réseaux égouts et eau, il y a eu un gigantesque travail de fondation réalisé par des entreprises spécialisées. Essentiellement des milliers de très longs pieux ont été mis en place avant tout démarrage de la construction proprement dite , notamment par battage de longs crayons en ciment armé avec pointe d'acier (comme les Pieux Français) avec un mouton actionné à la vapeur et par fonçage des pieux de béton moulés (les Pieux Franki avec des chevalets montés sur chenilles pour porter la tête vibrante). On parlait ainsi de fondations à -60/-80 mètres pour la tour nord de la Porte Océane. C'est sur ces alignements de pieux (qui parfois ne faisaient qu'affleurer à la surface du sol) qu'étaient ensuite construites les structures de béton armé que nous connaissons. Et alors intervenaient des entreprises grosses ou petites, fonctionnant selon les habitudes et avec les moyens de l'époque. Coffrages de planches fabriqués sur place, les brouettes pour amener le gravier et le ciment jusqu'à la bétonnière du chantier, les armatures de fer à béton fabriquées sur place et 100% à la main, etc. Sachons nous souvenir du travail qu'ils ont accompli.
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H
Salut mon pote,<br /> <br /> C'est ça qui est amusant quand on compare deux époques distinctes et qu'on a vécu, les choses "normales" de l'une deviennent les choses "anormales" de l'autre. Ainsi ne verrai-on pas d'un bon œil quelqu'un qui fumerait dans une salle de cinéma, et pourtant avant-guerre c'était une chose dont personne ne faisait attention, c'était "normal". <br /> <br /> Et si on regarde de près les conditions et les règles du travail, on s’aperçoit très vite que bon nombre de choses sont devenues "anormales" à notre époque, mais ne l'était pas par le passé. <br /> <br /> C'est pourquoi quand on regarde en arrière pour faire des recherches faut-il toujours avoir en tête ces principes sinon on fait ce que l'on nomme des anachronismes !<br /> <br /> bonne fin de journée Phyll, et à bientôt.
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L
salut DAN et salut Nicé,<br /> <br /> superbe collection de photos !!! et tout comme l'ami GEDE, je ne me souviens pas très bien de ces chantiers... pour moi aussi ça devait faire partie de la vie "normale" !!<br /> <br /> quant au port (obligatoire ?) du béret, ça devait être moins protecteur qu'un casque !! mais bon, c'était avant ! :o<br /> <br /> je te souhaite une bonne fin de journée<br /> <br /> à + poto !
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H
Bonjour Chantal,<br /> <br /> C'est sympa d'être passé par ici faire un commentaire. Pour les photos il faut remercier l'ami Nicéphore avec sa collection de clichés datant de cette époque. D'ailleurs d'autres de ses photos feront l'objet d'un autre article bientôt j'espère tout aussi passionnant pour les lecteurs.<br /> <br /> Très bon dimanche Chantal malgré la pluie !
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C
Bonjour Dan <br /> <br /> Merci pour ce partage très intéressant avec des photos qui illustrent bien cet important chantier , je ne connaissais pas l histoire de la construction de cette cantine .<br /> <br /> Je te souhaite un bon dimanche .<br /> <br /> Amicalement Chantal
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H
Bonjour Jean-Michel,<br /> <br /> Espérons alors que cet article te donne un appétit en "béton" ;-)<br /> <br /> Je connais l'ouvrage que tu cites mais n'y ai pas trouvé mention de cette cantine, et le photographe non plus car ici il s'agit de photo de William Beaufils, alors avec cet article je complète cet excellent ouvrage.<br /> <br /> Bon dimanche jean-Michel !
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J
Bonjour Dan<br /> <br /> Dimanche, midi à ma pendule, j'ouvre la page du blog avant de passer à table. Et là,un article sur la cantine. Belle synchro, non ? <br /> <br /> Très bel article, belles photos inédites à ma connaissance. Du coup, je jette un coup d’œil à un ouvrage que je conseille à ceux qui voudraient "aller plus loin" dans la découverte: "Les bâtisseurs, l'album de la reconstruction du Havre" (lien ci dessous).<br /> <br /> Je n'avais jamais prêté attention à ce bâtiment qui apparait pourtant sur les photos de Roger Henrard.<br /> <br /> Merci et bon week-end l'ami<br /> <br /> <br /> <br /> Jean michel L<br /> <br /> <br /> <br /> Lien vers le livre cité: http://ecx.images-amazon.com/images/I/51ZHRM9WE2L._SX258_BO1,204,203,200_.jpg
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G
Bonjour,<br /> <br /> Tu es bien dans l'air du temps puisque l'exposition annuelle de photos sur les cabanes est, cette année, consacrée à la reconstruction.<br /> <br /> D'autres documents, d'autres histoires, ce blog est bien pédagogique pour qui s'intéresse à cette période de notre histoire, d'autant plus que nous l'avons connu minot.<br /> <br /> C'est vrai qu'à l'âge que j'avais je n'étais pas très conscient qu'il s'agissait d'un lendemain de guerre, même si les parents en parlait. Je n'avais pas connu autre chose et je pensais que la vie, c'était comme ça. Rassure-toi, depuis, j'ai évolué !!!<br /> <br /> Bon dimanche
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P
Bonjour Dan<br /> <br /> De superbes images de ces chantiers de reconstruction gigantesques il faut bien le dire. Et, comme dit plus haut, la sécurité passait au deuxième rang (au vu des échafaudages). Pas de casque ni toute la panoplie qui va avec de nos jours. Une vraie ruche ces chantiers. Une belle collection.<br /> <br /> Bon dimanche... et pas trop de folie en ce jour de fête.<br /> <br /> Amitiés: papy Scham
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E
Bonjour Dan,encore une belle page d'histoire: de ce "fouilli"est sorti cet ensemble qu'il avait fallu penser de haut ! qu'on l'aime ou non...Belles photos d'archive.Merci Nicéphore,Merci Dan pour ces expications sur les cantines bien intéressantes.Bonne journée et toutes mes amitiés.E.C.
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H
Bonjour Gérard,<br /> <br /> Quand on regarde de plus près les conditions de travail à cette époque on est effaré par la faible protection de sécurité des échafaudage qui, pour la majorité d’entre-eux, étaient en bois. Sur la deuxième et troisième photos on voit bien ce qu'il en était déjà au niveau du sol. <br /> <br /> Mais il y avait du boulot et c'était plutôt la vitesse d’exécution qui importait à cette période, en non les conditions de travail.<br /> <br /> Bon dimanche Gérard.
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G
L'organisation des chantiers était à cette époque un vrai fouillis avec des conditions de sécurité précaires par rapport à ce qu'on exige aujourd'hui. Et pourtant, le résultat est nickel.
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J
Belles images que l'on ne voit pas souvent de cette époque de la reconstruction.<br /> <br /> Bon dimanche frangin et bonne fête des mères à Marie-Jo.<br /> <br /> Jacques
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