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HAVRAIS-DIRE Le blog de Dan et ses amis.
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4 juin 2017

Les chanteurs de rue

A notre époque où le MP3 est abondamment répandu, les musiciens de rues font figure d’antiquité et semble venir d’un autre âge. Ce métier a complètement disparu aujourd'hui sous cette forme, bien que les musiciens des fanfares  s’y apparentent.

1Un groupe de musiciens au carrefour du cours de la République et de la rue de Fontenoy, devant le cercle Franklin. Photo, collection Pascal Alinand.

Cette profession a été très pratiquée au début du XXe siècle. Les chanteurs et instrumentistes, quelquefois accompagnés d’enfants, poussaient la chansonnette dans les rues et cours d’immeubles en quête de quelques sous. C’était une époque où on prenait le temps d’écouter ces artistes, la radio (la T.S.F comme on dira plus tard) n’existait pas encore.
Sur la photo ancienne on peut remarquer le public curieux, mais pas étonné de voir et d’écouter ces interprètes ambulants.

2Le même endroit de nos jours. Photo Dan.

3Les deux époques entremêlées. Photo montage Dan.

plan de situationLes photos de cet article sont prises à partir du point bleu dans le cercle.

*-*-*

Merci de votre visite.

 

Commentaires
D
Merci havrais-dire ! Bonne journée.
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D
Bonjour, quelqu'un se souvient-il de la venue d'Edith Piaf dans le quartier Danton ? Fin des années 50 ou début 60. Merci
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L
Il est toujours intéressant de recouper les informations avec les sources des actes d'Etat-Civil, qui permettent de corriger des éléments et d'en préciser d'autres...<br /> <br /> - Antoine Guillaume Daniel GAUDEMARD, le chanteur de la photo qui débute cette page, est né à Paris le 10 juin 1865. La dame qui l'accompagne au violon, c'est sa femme, Henriette Marie BURKHARDT, ils se sont mariés au Havre le 3 octobre 1896, lui est "marin" et elle "couturière", née à Bâle (Suisse).<br /> <br /> - Louis Paul DAVIN (et non BAVIN comme indiqué par erreur par les journalistes de l'époque) est lui aussi né à Paris le 5 septembre 1876, son acte de naissance porte la mention "Décédé le 25 novembre 1948 au Havre", avec trois jours de décalage par rapport au 22/11/1948 cité par les journaux, l'erreur étant sans doute du côté de la retransmission de l'Etat-Civil cette fois-ci...<br /> <br /> Le fait que ces deux chanteurs ambulants soient nés à Paris n'est pas anodin : depuis l'inauguration de la ligne de train Paris-Rouen-Le Havre le 20 mars 1847, les trajets sur cet axe n'ont cessé de se développer, ainsi, dans le sens inverse, Maurice RIPOT, chanteur de rue et camelot (avec ses frères René et Raymond), né au Havre, est parti poursuivre sa carrière à Paris au début des années 1920 avec un certain succès, laissant des partitions à son nom jusque dans les années 1930. Mais là, c'est une autre histoire, qui se continue en-dehors de ce blog...
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L
J'ai eu l'occasion de passer aux archives municipales du Havre où j'ai trouvé les informations suivantes : au sujet de la photo figurant en tête de cette page, prise devant le café Franklin, elle avait été publiée dans "Le Havre Libre" du 31/3/1967 avec un commentaire qui dévoile l'identité du chanteur moustachu à casquette et de la violoniste qui l'accompagne : c'est monsieur GAUDEMARD et sa femme. En dépouillant les liasses de la série I1, carton 2, liasse 5 "Demandes d'autorisations" de vente sur le domaine public du Havre 1912 à 1919, on retrouve trois lettres de ce vendeur de chansons, la première est d'octobre 1914 et un tampon avec nom et adresse figure en haut à gauche : Daniel GAUDEMARD, 11 rue des Galions, Le Havre. Et son contenu est surprenant : les demandes d'autorisations de l'époque étaient bien souvent des suppliques aux édiles pour décrocher l'autorisation, alors que la sienne est faite "au nom de ses collègues" et revendique, sinon l'autorisation de son activité, au moins sa tolérance, en s'appuyant sur des exemples de villes de la région (Rouen, Trouville...). On voit clairement qu'il revendique un droit d'exercer et qu'il est conscient d'appartenir à un groupe organisé : les marchands de chansons.<br /> <br /> Comme l'activité fut interdite au Havre durant la première guerre mondiale, la réponse à sa demande fut bien sûr négative, le maire ne pouvant faire une exception individuelle face à une interdiction générale.<br /> <br /> Daniel GAUDEMARD fit une deuxième demande en décembre 1914, en se basant cette fois-ci sur des éléments plus personnels, mais sans plus de succès. Il en fit une dernière en avril 1916, en insistant sur son incapacité physique (une ancienne fracture de la jambe lui interdisant tous travaux de force), sur son ancienneté comme marchand de chansons (20 ans) et enfin sur le fait que son fils, qui les aidait financièrement jusque là (il travaillait comme garçon de salle sur un transatlantique) venait d'être mobilisé, ce qui les privait de leur dernier revenu. Nouveau refus... <br /> <br /> Concernant maintenant Louis BAVIN dit D'Artagnan, j'ai trouvé deux articles de journaux tirés des fiches biographiques du Fichier LEGOY : un dessin de Will Beaufils qui le représente avec une feuille de chansons dans "Le Petit Havre" du 29/7/1934, et l'annonce de sa mort dans "Le Havre Libre" du 23/11/1948. L'article le décrit comme clochard sympathique, borgne, avec un large chapeau, des cheveux gris, une redingote, une cape et une canne; ancien artiste lyrique. Il est mort à 72 ans, le 22/11/1948, à l'hôpital du Havre. Il habitait Place Faride à Bléville.<br /> <br /> Dans le dossier "Culture-Loisirs-Tourisme" cote 35/2.0, on y retrouve l'article de 1948 et aussi une lettre émouvante d'un reporter-photographe de l'"Excelsior", Alex CAUCHON, qui intercède auprès du maire du Havre pour que Louis BAVIN aie une autorisation de chanteur-humoriste ambulant à la jetée rue Frédéric Sauvage, afin de lui éviter des contraventions qu'il ne peut plus payer. On y apprend au passage qu'il est né à Paris le 5/9/1876.<br /> <br /> Voilà pour l'instant. Ces nouveaux éléments amènent des précisions qui permettent de nouvelles recherches dans l'état-civil, que je vais faire dans les jours qui viennent.<br /> <br /> Arnaud Moyencourt, dit "Le Facteur"
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L
Bonjour, le chanteur ambulant d'Artagnan, de son vrai nom Louis BAVIN, a fait l'objet d'une étude biographique que l'on retrouve aux archives municipales du Havre dans le "Fichier LEGOY" cote 517W1, je dois aller y voir un jour, mais si l'un d'entre vous a l'occasion d'y passer avant, faites suivre le résultat !
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M
J'ai fait une recherche, dans mes archives, sur le DARTAGNAN (Luc de son prénom), acteur de cinéma et celui-ci n'a rien à voir avec le DARTAGNAN chanteur des rues évoqué ci-dessus qui ne semble ne jamais avoir fait de cinéma. Voilà une légende de rectifiée. Tout en cherchant - c'est quand on cherche quelque chose que l'on tombe sur une autre - J'ai trouvé quelques éléments sur l'actrice SUZANNE LE BRET, dite POUPETTE, qui est née au Havre. A cette époque, les contrat, pour les femmes, ne mentionnaient pas les dates de naissance. Un film encore visible avec une de ses prestations "LES VAMPIRES" de Louis Feuillade où elle joue la bonne de Musidora. Affaire à suivre
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M
Tu penses que si je voyais en vide grenier, je saute dessus (en négociant le prix, car je suis devenu marchand de tapis depuis quelques années). Il faut expérer.
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M
J'en remets une "couche" ou renseignements complémentaires : Enfant, ma ma Mère résidait 30,bis rue de Neustrie (pas très loin donc de Franklin) dans une impasse qui donne sur une cour, encore visible mais inaxcessible aujourd'hui car cloturée, où D'Artagnan venait parfois chanter. Concernant sa photo, antérieurement à la boutique décrite plus haut, elle se trouvait cours de la république chez un marchand de couleurs qui se situait jusqu'à côté d'un bar se trouvant après l'impasse qui jouxte l'ancien Palace (décidément on est toujours dans les salles de ciné), qui est devenu, à ce jour un bar. Je ne sais pas comment cette photo est passée d'un boutique à l'autre...
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C
.....Oh .. !!!! Ma rue....oui la rue de Fontenoy , où je suis né ( à l'époque les femmes accouchaient chez elles ) et où j'ai passé mon enfance et adolescence jusqu'à 16 ans....et Franklin mon terrain de jeux étant gamin....qui possédait encore ses grilles comme cela a déjà été dit plus haut.<br /> <br /> <br /> <br /> Je confirme aussi le fait que des " chanteurs des rues " se produisaient encore après guerre en cet endroit ( devant Franklin ) dont ce "" D'Artagnan "" ...je me souviens de lui..et la description faite par MARC GEORGES est bien le souvenir que j'en ai.....À mon avis cela se passait plutôt les jours de " marchés " ( le marché dit "" du Rond Point " c'était quelque chose.<br /> <br /> <br /> <br /> Pour mémoire, au sujet des partitions vendues par ces " artistes " c'était ce que l'on appelait les "" petits formats "" .<br /> <br /> <br /> <br /> Merci Dan de m'avoir grâce à ce reportage replongé dans ma "lointaine" enfance.<br /> <br /> <br /> <br /> Bonne nuit et bon week-end.
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M
Félicitations, très beau document qui nous rappelle ce que fut la vie avant les guerres. Il représente bien ce que fut cette vie dont nous n'avons eu que quelques échos par nos parents ou grands-parents. Il semble que ces chanteurs ambulants ont perpétués la tradition jusqu'aux années 60/70, puisque je possède une grande feuille avec la chanson "L'ARSENE" popularisée par Jacques Dutronc. La particularité de ces feuillées, pliées en 4 ou en 8, contrairement aux partitions, ne comporte que les paroles des chansons.<br /> <br /> Si sur la photo, le public n'est pas surpris, c'est que ces chanteurs venaient tous les dimanches matin devant Franklin - qui avait encore ses grilles - les gens étaient habitués à leur présence, ma mère - récemment décédée - s'en souvenait très bien car elle allait avec son père les voir toutes les semaines.<br /> <br /> L'un d'eux fut célèbre au Havre sous le nom de "D'ARTAGNAN", il chanta dans les cours jusqu'à la fin de sa vie, malvoyant et la voix quelque peu cassée. Il est décédé aux indigents de l'Hôpital Général Flaubert. Une dame (sans doute patronnesse) allait le visiter régulièrement. Ma mère se souvenait très bien de sa voix chevreutante qui disait toujours quand elle lui glissait une pièce dans la main "Merci ma petite fille". Il ne vendait pas de chansons, mais chantait un peu à la demande. Effectivement, il devait y avait des chansons style Berthe Sylva, très triste, mais ces chansons dites réalistes, décrivent bien les difficultés de vie des gens de l'époque (un vieux entre à l'hôpital et doit abandonner son chien "MON VIEUX PATEAU" ou l'enfant qui n'aura pas jouet à Noel car ses parents sont trop pauvres).<br /> <br /> Un portrait de D'ARTAGNAN - seul document que j'ai vu - fut longtemps exposé chez un photographe se trouvant à côté du bar au début de la rue de la Cité Havraise, parallèle au Palace. On pouvait le voir avec une grande barbe, un grand chapeau, dans le Style Bruant. Il avait un oeil fermé car crevé - une histoire de femme disait-on -. Je ne sais pas ce qu'est devenue cette photo, mais la retrouver serait intéressante (au cas de découverte, s'adresser à Dan - service gratuit). <br /> <br /> BERJO et ANNIE ANDRE évoquèrent ces chanteurs des rues dans l'une de ses revues "HAVRAIS....." (ils sont de qui les décors ?)<br /> <br /> Notes :<br /> <br /> On trouve le nom de M. D'ARTAGNAN sur le générique que film "L'AUBERGE ROUGE" de Jean Epstein<br /> <br /> Berthe Sylva, en compagnie de LEON REYTER, est venue chanter en extérieur à Franklyn à la demande de RADIO NORMANDIE.
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T
https://www.youtube.com/watch?v=MOk5yYLAQvU<br /> <br /> <br /> <br /> Rin à voir avec la vidéo mais, Boujou du Sud, montigars !
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L
Salut, me v'là bien en retard !<br /> <br /> Superbes photos. Figurez-vous que malgré mon jeune age j'ai connu des chanteurs de rue. Ils passaient dans notre cité ouvrière (dans les années 60) et les gens jetaient des pièces depuis les étages. <br /> <br /> Pas d'accord avec vos critiques sur les musiques d'aujourd'hui. Mon père parlait comme vous en entendant mes disques de rock !!!<br /> <br /> La bises les gones
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M
Merci pour le renseignement, je ne savais pas.<br /> <br /> Chez nous, ce sont les chansons de la radio.<br /> <br /> On ne sait rien faire, c'est bien qu'ils font de la maintenance !<br /> <br /> C'est une très bonne plateforme très sérieuse et ils sont très gentils.<br /> <br /> Bonne soirée.
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M
Bonsoir cher Dan,<br /> <br /> Hop, c'est musique chez toi, c'est super !<br /> <br /> Il y en a encore dans Bruxelles, surtout dans les métros, ils ont parfois beaucoup de talents.La vie est plus douce en musique !<br /> <br /> Je ne parvenais pas à ouvrir ta page, pour une fois que j'étais tôt.<br /> <br /> Je pense que tu étais en maintenance.<br /> <br /> Bonne semaine, mes amitiés.
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G
"Je chante<br /> <br /> , je chante soir et matin,<br /> <br /> je chante sur mon chemin..."<br /> <br /> Et on chante encore !<br /> <br /> Cette semaine (le 8 juin) des enfants des collèges (dont notre petit fils) chanteront aux Docks.. ils seront nombreux, de différents collèges.<br /> <br /> La chanson se remet au goût du jour ! c'est chouette !
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P
Bonjour Dan<br /> <br /> Je ne savais pas que ces musiciens avaient fait de leur passion un métier. De nos jours chacun se balade avec sa musique perso et ne fait pas attention aux autres. De même avec les smartphones. Les seuls musiciens que l'on rencontre encore ce sont ceux lors de manifestations culturelles ou encore, pendant les fêtes de fin d'année, ceux de l'Armée du salut. Dommage, chacun se la joue perso. <br /> <br /> Bon après-midi et excellente semaine.<br /> <br /> Amitiés: papy Scham
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T
Salut DAN<br /> <br /> Top encore cette incrustation.<br /> <br /> Figures-toi que je n'ai pas de mémoire visuelle de ce Franklin !<br /> <br /> Bonne semaine à toi.
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H
Bonsoir Daniel,<br /> <br /> Comme à l'accoutumée je n'étais pas destinataire de ton blog , mais avec mon archivage j'ai retrouvé le sujet du jour qui m'a séduit , j'aurai voulu illustrer mon propos car je possèdes un tas de chansons de rue ,hérité de mon grand père né en 1878 , mais je ne pas les connaissances informatiques pour le faire.<br /> <br /> je te souhaite une bonne soirée
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G
Salut Dan,<br /> <br /> Avec ce sujet, tu ranimes encore quelques souvenirs, car je me souviens avoir vu des rescapés dans ma prime jeunesse dans la cour de mon immeuble.. On leur jetait de l'argent par la fenêtre et les "fans" pouvaient acheter les partitions.<br /> <br /> Bonne soirée.
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L
salut DAN,<br /> <br /> mes parents avaient une petite "collection" de ces partitions achetées dans la rue...je ne sais pas, hélas, ce qu'elles sont devenues..... sinon, comme l'écrit E.C. dans mon quartier aussi il y a de temps en temps un joueur d'orgue de barbarie... c'est sympa !!<br /> <br /> bonne soirée poto, à+ ! :o
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D
C'est ainsi qu'Edith Piaf a commencé sa carrière, dans les rues de Paris.
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E
Bonjour Dan , bon retour en arrière musical...Bien sûr je n'ai pas connu cela, à part les passages intermittents de quelques " orgues de Barbarie ", en particulier dans le quartier Thiers et Saint Roch...mais c'est dans un autre contexte .Bonne fin de soirée avec les " Dixie Days " sur le Bd.Maritime .E.C.
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F
Bonjour Dan, merci pour ce sympathique retour en arrière.Cela me fait penser à ma grand 'mère qui me chantait des chansons de rues de son enfance. La plupart du temps ces chanteurs entraient dans les cours d'immeubles et se mettaient à chanter. Si la chanson était bonne, les habitants de l'immeuble lançaient des sous par les fenêtres. On pouvait acheter aussi la chanson et chanter avec les musiciens. Le texte des chansons était souvent dramatique. Elles parlaient de fleurs blanches qu'un petit garçon portait à l'hôpital à sa mère . Il arrivait trop tard , elle venait de mourir. ....C'était toujours émouvant !! BON Dimanche Dan
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G
C'était déjà la fête de la musique
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C
On aime encore chanter de nos jours, peut-être un peu plus en ruralité ? Ce qui revient aussi ce sont les "crieurs de rue" : http://www.voyagesetnature.fr/2016/04/soupe-et-criee-a-montfalcon.html, comme ici à Montfalcon l'année dernière. Ces chanteurs , crieurs et autres animateurs de rue créent ainsi de la convivialité qui manque trop souvent dans notre société "moderne".<br /> <br /> Bon dimanche en chanson. C&B
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C
Merci Dan !<br /> <br /> Comme quoi quelques soit l'époque, vivre sans musique n'est pas envisageable.<br /> <br /> Il me semble que dans nos almanachs illustrés on trouvait de nombreuses partitions et chants.
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J
Superposition d'images très bien réalisée encore une fois. Ma mère me disait que ces chanteurs de rues distribuaient quelquefois les partitions et les paroles des chansons contre quelques sous. Il est sur qu'à cette époque la mélodie jouée était juste un discret accompagnement du texte chanté. Bonne journée.
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F
Un petit moment de paix !<br /> <br /> Bon dimanche à tous<br /> <br /> FAH
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B
Très bel article d'une époque révolue mais qui nous apporte toujours le même charme d'antan ! et bravo au photographe ! continuez à nous surprendre
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A
Très beau "collage" pour ces deux époques entremêlées.
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J
Bonjour Dan<br /> <br /> Puisque tu évoques les MP3, il faudrait aussi parler des styles et gouts musicaux qui ont beaucoup changé. Moins de violons et autres cuivres à pistons. On est plus dans la boite à rythmes bourrée de décibels accompagnée d'instruments amplifiés souvent à la limite de la distorsion.<br /> <br /> Je ne te parle même pas des tenues. Imagine un instant une chanteuse de RnB et sa troupe de "fesses à l'air" devant Franklin", par un bel après midi d'hiver... :-)<br /> <br /> Bon, je radote <br /> <br /> Bonne journée l'ami<br /> <br /> <br /> <br /> JML
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J
Cette photo est prise devant Franklin, haut lieu des luttes syndicales. A cette époque Franklin était entouré d'une barrière. En 1920, Henri Gautier pendant les grèves qui fit 4 morts, y récupérera un camarade blessé, qui y était caché pour échapper aux gendarmes à cheval qui chargeaient les grévistes sabre au clair.
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