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HAVRAIS-DIRE Le blog de Dan et ses amis.
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18 mars 2018

L’entrepôt des tabacs.

En 1913 la construction d’un nouvel entrepôt pour les tabacs fit l’objet d’un projet de loi proposé par le Sénat. Cette marchandise, de plus en plus importée, nécessitait des locaux plus grands et adaptés à leur manutention. A cette époque elle était stockée à trois endroits différents. L’un à côté de la manufacture, un autre dans un hangar loué sur le port, et le dernier, le plus grand, dans un bâtiment rue de la Bourse (aujourd’hui Jules Siegfried). Ce vaste magasin construit en 1845 avait été conçu par Brunet-Debaines.

 13 La bourse coté nord 129 ND ALGLe palais de la Bourse façade nord, avec la place Carnot et à gauche désigné par le point rouge, l’entrepôt des tabacs. Collection privée.
 
Choix ALGLe même endroit de nos jours. La poste ayant pris la place de l’entrepôt des tabacs et la Bourse a disparu sous les bombes en 1944. Photo Dan.

  La bourse coté sud ALGUne autre vue de l’entrepôt, (point rouge) avec la Bourse mais côté sud. Notez, le bâtiment désigné par le point bleu existe toujours rue Dupleix. Collection Dan.

 La situation de l’entrepôt en centre-ville ne permettait pas les liaisons ferroviaires avec les autres dépôts.  En conséquence il fut décidé de construire un magasin unique afin d’optimiser le stockage, le transport et la manutention du tabac. Ce nouveau bâtiment sera construit à l’angle du boulevard de Graville et de la rue Saint Romain (Gustave Nicolle).

Entrepot tabac 1913 (3) RCD ALG (MF)Une autre vue de l’entrepôt, ici dans l’actuelle rue Maréchal De Lattre de Tassigny, à l'époque (1913) c’était une partie de la rue Victor Hugo. Photo « Le petit Havre », collection Michel Fouquet.

 5 De Lattre de Tassigny ALGLe même endroit de nos jours. Photo Dan.

A remarquer à propos de ce bâtiment, en 1870-71, il servit de siège à la cour martiale de l’armée du Havre, de caserne à divers corps d’armée, et de magasin de munition. (Le Petit Havre 3 juillet 1913). Ce qui pourrait expliquer la photo suivante où l’on voit un défilé de cuirassiers passant devant la Bourse.

Tabac-Bourse ALG
Les cuirassiers passant devant la Bourse, dont on voit une partie de la façade avec les drapeaux, venant probablement de l’entrepôt des tabacs visible en arrière-plan. Collection Dan.

 Plan 1851 (3) ALG

 Le Havre en 1851. L’entrepôt des tabacs est surligné en orange. Le deuxième magasin est dans le cercle rouge. La manufacture des tabacs n’occupe alors qu’un espace restreint. Par la suite elle s’étendra sur tout le périmètre entre la rue du Gallet (Jérôme Bellarmato) et le quai Casimir Delavigne. La Bourse est absente du plan, elle ne sera construite qu’à partir de 1878 et inaugurée en 1880. En 1851 c'est encore le temple protestant et son école qui figurent à sa place. Plan source Gallica. 

 

 

Ce bâtiment était propriété de l’Etat, le terrain fut vendu à la ville du Havre, en prévision de la construction de l’hôtel des Postes. C’est ce que verrons la semaine prochaine.

Sources :
Rapport N° 310 du Sénat année 1913 session ordinaire.
Projet de loi N° 262 Sénat.Journal « Le Petit Havre » Juillet et octobre 1913.BNF Gallica.

... à   Marc Georges

Marc Georges avec fond flou

 

 

Commentaires
C
Intéressante histoire que celle de cet entrepôt des tabacs....On n'imagine pas en voyant l'ex grande poste qu'il y avait ça avant ....À vrai dire, personnellement je ne m'étais même jamais posé la question....c'est donc une découverte.<br /> <br /> <br /> <br /> Par ailleurs , peiné d'apprendre cette triste nouvelle concernant Marc Georges...j'ai eu l'occasion de le rencontrer quelques fois ...mais sans le connaitre vraiment personnellement....J'ai pris connaissance de l'article nécrologique le concernant dans le journal cette semaine....<br /> <br /> <br /> <br /> Bon Dimanche.
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A
Bonjour à tous,<br /> <br /> Lors de la reconstruction du Havre, les sinistrés , c'est à dire propriétaires (et locataires dans une certaine mesure), se voyaient attribuer une créance garantie par l'État. <br /> <br /> Le système des coopératives de reconstruction (coopérative François 1er, AGIR, etc) permettait de proposer un bien "à reconstruire" de valeur équivalente au propriétaire. L'équivalence pouvait se faire en un lieu différent et avec un nombre de m2 différent. C'est la coopérative qui traitait avec l'Etat , le MRU (ministère de la reconstruction) et les architectes..<br /> <br /> Quant à l'ancien locataire sinistré il n'était pas oublié. Le propriétaire DEVAIT obligatoirement lui donner la priorité quand il récupérait son bien pour le louer. C'est ainsi que mes parents qui étaient locataires d'un petit appartement rue Paul Doumer ont emménagé boulevard Foch, 8 ans plus tard en 1953. Leur propriétaire avait accepté d'échanger son ancienne maison sinistrée de 3 appartements et 2 mansardes contre 2 appartements neufs.
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L
Cher Dan,<br /> <br /> <br /> <br /> C'est noté pour overblog.<br /> <br /> <br /> <br /> Le relogement reste une question à étudier et sans se contenter de photos d'époque. J'ai peur que l'album de 2002 soit de cette sorte, superficiel et trompeur comme tant de publications récentes. Si je remets le nez dans cette étude, ce sera d'abord avec l'écrit de Tournant paru dans la revue Etudes normandes, 4e trimestre 1953, p. 537-628.<br /> <br /> <br /> <br /> L'idée que j'ai derrière la tête est la suivante. En 1939, 40 000 personnes étaient logées dans le périmètre de la reconstruction. Cette reconstruction a traîné, si bien qu'une partie des propriétaires sinistrés ont dû s'installer ailleurs avant de toucher l'indemnité en nature et y rester. Ce sont des mouvements de population qu'il faudrait essayer de connaître. <br /> <br /> <br /> <br /> D'autre part, l'ancien Havre était divisé en quartiers plus ou moins bien famés, et j'imagine qu'en dépit de la table rase, les quartiers reconstruits ont gardé au moins au début leur ancienne réputation. Autrement dit certains propriétaires résidents ont dû refuser de se domicilier dans le ou les logements neufs qui leur ont été fournis. Je sais que la population du périmètre de la reconstruction est bien inférieure à ce qu'elle était avant guerre, et je suppose que la question sociale a compté.<br /> <br /> <br /> <br /> Je n'ai entendu parler que d'un ensemble HLM : ce sont les immeubles du quai de Southampton et ceux qui ont été construits derrière, dans la même opération. Qui dit HLM dit locataires : l'office d'HLM a-t-il vendu ensuite les immeubles ou des appartements ? A-t-on construit d'autres immeubles HLM dans le périmètre? Pour combien de logements ? Enfin, j'ai lu que la construction du quartier de Caucriauville a commencé en 1963. <br /> <br /> <br /> <br /> En parlant de Perret, j'ai voulu dire qu'il n'avait construit que pour des bourgeois, c'est-à-dire qu'il n'a pas construit de cités comme d'autres architectes du béton armé, Baudouin et Lods à Drancy, par exemple. Il y avait des propriétaires ayant des fortunes très différentes, et j'aimerais savoir où on a relogé les cabaretiers et les propriétaires des hôtels particuliers, et connaître leur réaction.<br /> <br /> <br /> <br /> L'église Saint-Joseph est l'oeuvre de plusieurs architectes et a été terminée après la mort de Perret. On lui attribue généralement, seul ou en chef, l'hôtel de ville (le beffroi est de Tournant) et les immeubles ISAI de la place de l'hôtel de ville. La structure de l'hôtel de ville est une transposition de la rotonde du musée des Travaux publics, actuellement Conseil économique et social. L'attribution à Perret ne fait pas de doute ici. Certains immeubles de la rue de Paris lui sont dus aussi, je crois.<br /> <br /> <br /> <br /> Je sais que ce genre d'études n'est pas facile car il faut consulter beaucoup d'archives et savoir les lire. C'est la rançon de la recherche de la vérité.<br /> <br /> <br /> <br /> Cordialement. Bernard LUTUN.
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L
Cher Dan,<br /> <br /> <br /> <br /> J'ai reçu hier un ancien collègue de travail, et les discussions ont surtout porté sur Le Havre dont il est originaire. Grâce à votre nom, il a pu faire connaissance avec vos blogs (je ne connais que celui-ci) et avec vos ressources photographiques.<br /> <br /> <br /> <br /> Cet ami est né le jour du lancement du paquebot France et a vécu au Havre jusqu'en 1982. Il m'a dit, je crois, que ses parents avaient vécu dans trois appartements de la zone reconstruite et une maison bourgeoise proche du palais de justice, qui a survécu aux bombardements. <br /> <br /> <br /> <br /> Leur logement actuel, quai de Southampton, m'a intrigué car, selon mes renseignements, les bâtiments de l'ancien Grand Quai et à l'arrière sont des HLM dus à Lambert et à d'autres architectes de l'atelier Perret, soit 1 100 logements livrés en 1956. Je n'ai pas osé lui en parler, mais, si je rends visite à ses parents, j'espère pouvoir l'arpenter et arpenter les logements voisins, car on a pu tailler dans les immeubles afin d'agrandir des appartements lors du lotissement ou après. La valeur estimée des biens à indemniser pouvait conduire au versement d'une soulte ou à un ajout au bien en échange. Mon préjugé est que les logements type Perret sont supérieurs à ceux du Corbusier, d'après les appartements témoins du Havre et du palais de Chaillot.<br /> <br /> <br /> <br /> Cette question des HLM (les Perret n'ont travaillé personnellement que pour des bourgeois) m'avait conduit à m'interroger sur le sort des locataires "sinistrés" du Havre (mes messages de la fin de 2015). Le silence de mes auteurs m'a fait supposer que leur cas ne les intéressait pas et que ces sinistrés, après avoir connu les baraquements, ont peuplé le nouveau quartier stalinien de Caucriauville. Je pense que vous pourriez utilement étudier la question, ainsi que vous le faites dans ce blog, immeuble par immeuble ou par groupe d'immeubles, à moins qu'on ne trouve une étude ou un rapport sérieux d'ensemble (je n'ai pas lu celui de Tournant).<br /> <br /> <br /> <br /> Cordialement. B.L.
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G
Pour moi, qui ne suis pas havraise d'origine, je suis toujours émerveillée par tous les liens qui vous lient tous et que votre blog permet de nous faire connaître... <br /> <br /> J'ai dès mon arrivée au Havre fréquenté les Clec sans connaître personnellement tous ceux qui apportaient leur savoir qu'ils aimaient partager.<br /> <br /> Le centre ville du Havre à l'époque des entrepôts de tabac devait être plein d'activités, d'entreprises, de travail, de commerce... il est devenu désert maintenant, l'activité s'étant déplacée dans la zone industrielle ou partie dans d'autres pays...<br /> <br /> Bonne semaine Dan
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L
Hello mon cher Dan<br /> <br /> Super thème, encore une fois bien choisi et documenté.<br /> <br /> Je reste fan tu t'en doutes bien<br /> <br /> A la prochaine<br /> <br /> Loran Duvaldoise
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J
Bonsoir Dan<br /> <br /> Très intéressant article sur cet entrepôt des tabacs et je rejoins Phyll dans son commentaire mais un peu dans un autre sens: c'est ton hommage à Marc Georges qui fait un tabac au vu des nombreux commentaires de tes amis qui l'ont connu, et celui-ci est tout à ton honneur. On apprécie vraiment.<br /> <br /> Bonne fin d'après-midi et excellente semaine. Amicalement: papy Scham
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G
Bravo, Dan.<br /> <br /> Comme d'habitude, c'est clair, précis, documenté.<br /> <br /> Et le souci du détail qui est votre marque de fabrique.<br /> <br /> Merci encore et bonne journée.
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C
Bonjour, <br /> <br /> Encore un super document ...<br /> <br /> En voyant les images, je comprend mieux maintenant, pourquoi il y avait une rue " de travers " à cet endroit alors que le tracé des rues est rectiligne par ici ... la faute aux anciens remparts !!! trace de l'histoire passée.
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E
Bonsoir Dan, cet entrepôt des tabacs m'était inconnu , encore une intéressante histoire locale . Par contre je connais , modestement , la "manufacture des tabacs " du fait que mon arrière arrière grand père ,Félix, était contrôleur de la cette manufacture en 1844,et a fait que notre famille est venue au Havre à cette époque. Encore de belles images et de la nostalgie en lisant ton article et tes réponses aux blogueurs . Qu'on le connaisse ou pas, on ne pas qu'avoir du respect et de l'admiration pour Marc Georges ,d'après les messages des lecteurs et tes réponses émouvantes , ainsi que celles de Nicé. Bonne soirée. E.C.
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F
Bonjour DAN. Que dire ! c'est toujours avec le même enthousiasme que je découvre le dimanche de nouveaux souvenirs de notre Havre tels que la banque postale où ma mère m'emmenait le mercredi parfois pour tirer de l'argent probablement . Et ce grand édifice me semblait immense et peu accueillant .Bonne soirée
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E
Pour Marc Georges, contacter Samuel. ou je transmets.
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A
Bonjour,<br /> <br /> Un point m'interpelle, comme disent les érudits. Les cuirassiers ont été photographiés devant la Bourse. Et pourtant il n'y avait pas au Havre de corps de cavalerie (hormis un peloton de gardes mobiles à cheval, prédécesseurs des CRS). Alors d'où venaient ces cuirassiers? J’avance, sans garantie, que ça pourrait être lors d'une visite présidentielle. <br /> <br /> A la BNF un cliché de l'agence Rol (pris sous un angle différent) peut se rapprocher de la photo de Dan. <br /> <br /> Avec les cuirassiers à gauche et le pavoisement du palais de la Bourse qui sont assez semblables, il s'agirait (conditionnel quand même!) de la garde d'honneur du président Poincaré venu au Havre en juillet 1913.<br /> <br /> <br /> <br /> https://image.noelshack.com/fichiers/2018/11/7/1521387742-havre-23-7-13-mr-poincare-au-havre-agence-rol-btv1b6926552q-jpeg.jpg
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L
salut mon pote,<br /> <br /> désolé mais tu ne feras pas un tabac avec cet article car de nos jours celui-ci (le tabac) est devenu tabou !!!... :o plaisanterie à part, j'ignorais tout de ce bâtiment !<br /> <br /> et j'ai eu l'occasion deux ou trois fois en ta compagnie de croiser le chemin de Marc et le souvenir que j'en ai c'est celui d'un homme simple, sympa et passionné...
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G
Bonjour,<br /> <br /> Sujet fumant que cet entrepôt de tabac, mais aujourd'hui je commenterais plutôt le départ de Marc Georges. Je ne connaissais pas son nom, mais je l'ai rencontré maintes et maintes fois sur ma route de chasseur d'images, notamment au festival de Deauville où nous étions du même "combat" photographique. J'ignorais qui il était mais je le découvre à travers tous ces hommages, ce qui me fait regretter de ne l'avoir mieux connu.<br /> <br /> Bon dimanche
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C
La fin du XIXème siècle et le début du XXème constituent une période riche en constructions dans notre pays. En voilà une bon exemple parfaitement illustré pour Le Havre.<br /> <br /> Bon dimanche. C&B
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G
Tu nous apprends par ce billet la disparition regrettée de Marc, un copain avec qui j'ai partagé plein d'expériences, tournage de film en super 8, son et lumière... Comme le dit Gérard Lecornu, nous le surnommions Jules. C'est dire à l'époque ce qu'il évoquait déjà pour nous comme spécialiste du cinéma. Quand aux trésors qu'il a accumulés au fil de ses recherches, c'est assez exceptionnel et j'espère que ça ne sera pas dilapidé.
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G
Bonjour Dan, Marc-Georges était un copain d'adolescence et nous le surnommions "Jules Verne" au sein de notre groupe de cinéphiles. Il avait le cœur sur la main et n'a pas hésité à prêter pendant plusieurs mois quelques uns des trésors de ses collections pour nos expositions au musée d'Harfleur. Depuis toujours le cinéma, l'avait envoûté et sa culture cinématographique était infinie. Comme dit la tradition orale africaine, "Un homme qui meurt c'est une bibliothèque qui brûle".
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J
Il avait fière allure ce bâtiment. Dommage qu'il ait été détruit par les bombardements comme tant d'autres d'ailleurs. Encore un article très intéressant.<br /> <br /> J'ai souvent croisé Marc Georges et même si je ne le connaissais pas personnellement, je voyais bien que c'était quelqu'un de passionné et d'intarissable n matière de cinéma.Il était incontournable dans le paysage havrais des collectionneurs en tous genres. C'était une bonne idée de lui rendre hommage sur le blog.<br /> <br /> Bon dimanche Dan et Nicéphore ainsi qu'à Marie-Jo et Odile.
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B
Salut Dan<br /> <br /> <br /> <br /> Le batiment existe donc toujours mais à bien changé. C'est rare que c'est transformation entrainent une réduction des étages en général c'est l'inverse, on rehausse.<br /> <br /> <br /> <br /> Quant à Marc Georges je le connaissais un petit peu, je le voyais souvent dans les salons et vide grenier. Grand collectionneur d'image. Il devait avoir des trésors.<br /> <br /> <br /> <br /> Hommage à lui.
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N
Cet article est dédié à Marc Georges, qui vient de nous quitter. Véritable encyclopédie vivante du cinéma local et national, son savoir et sa documentation en la matière étaient immenses. Il fut un de nos tous premiers lecteurs cependant avec cette dernière séance, sa lumière ne s'est pas éteinte dans nos coeurs mais le rideau est tombé ...
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S
C'est comme d'habitude très intéressant ! Je regrette de ne pas habiter au Havre pour suivre les chemins que vous défrichez et déchiffrez !<br /> <br /> Jacques Silve
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